jeudi 17 août 2023

99 NOMS DE DIEU : Les clés de la connaissance certaine de la présence de Jésus parmi nous


 

SOMMAIRE

Les éléments pour l’interprétation. 6

Étude les attributs divins. 7

Nombres premiers et attributs divin.. 7

Par rapport à deux évènements. 8

Par les données visibles. 8

Par les données invisibles. 8

Par le calcul 9

Le perfectionnement spirituel 10

L’éducation durable. 13

Les noms apparents de la basmala. 19

Le sens littéraire des trois attributs divins de la basmala. 20

1 Allah.. 20

2 Ar-Rahmān.. 23

3 Ar-Rahīm... 23

La détermination des valeurs numériques. 26

Les 99 noms d’Allah (une liste indicative) 27

Tableau d’une liste indicative des 99 noms de Dieu. 28

Les noms de Dieu dans les Ecritures Saintes. 31

623 ; L’année Une de l’Islam à Médine. 42

Les noms cachés de la Fatiha. 45

La Fatiha et la sourate Maryam... 45

Les noms de Dieu à partir du nom de Issa Ibn Maryam... 45

1 Al-Malik (4 ) 45

2 An-Nāfi‘ (92 ) 46

3 Al-Wadūd (48) 48

La station de l’observation.. 53

Le qualificatif suprême. 53

La sourate Muhammad. 53

La station de l’observation. 53

L’interprétation : une capacité de mise en cohérence. 54

Le retour de Jésus et la renaissance Africain. 54

Quelques figures pour la renaissance de l’Afrique. 57

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’auteur se désigne ici par, Abd Rahman anNur Thani, celui dont il porte la parole. Il est un ancien de l’Ecole Régional Normale William de Kolda, de l’Ecole Normale Supérieure de Dakar et du Centre d’Etudes Supérieures en Science et Technique de l’information.

Il est né le 15 muharam 1389. Cette année se situe à l’an 1441 du Maouloud ou à l’an 2029 de la naissance de J.C.

Il milite en faveur de l’éducation spirituelle afin que les peuples soumis se trouvent les moyens de s’affranchir de la peur qui les ligote.

Ce livre montre comment le perfection spirituelle donne les moyens d’interprétation des signes qui peuple notre environnement

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Qu’Allah préserve de l’erreur par laquelle le Maudit guide vers la déchéance tout en éloignant de la miséricorde divine.

Au nom d’Allah le Tout-Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

Que le Salut soit accordé à Muhammad et que la Paix s’étende sur sa famille, ses compagnons, son assistant et sa communauté.

Que la miséricorde divine demeure la quête des créatures qui découvre le sens de leur existence que dans l’adoration.

Allah est le Seigneur. Le messager illettré, plus savant que tout savant lettré, est notre guide. Que la Grandeur d’Allah demeure célébrée par le nom d’Allah, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux par les Lumières des Louanges qui accordent l’agrément et les grâces aux serviteurs.

Allah ! Faites de cet ouvrage une guidée pour tout aspirant qui souhaite, dans la fidélité et la sincérité, atteindre Votre Proximité ! Amen ! Ya Allah Rabil alamine.

Ce livre prépare son lecteur à tirer meilleur profit des ouvrages qui chercheront à partager sur l’expérience intime du deuxième serviteur du Tout-Miséricordieux et de la Lumière, Abd Rahman anNur Thani. Adepte de la spiritualité islamique, il scruta le vrai dans l’héritage de toute communauté qui se réclame détenteur d’une parcelle de Vérité. Au terme de son parcours, il comprit que les noms de Dieu, ainsi que la formule du recueillement, Amen,  restent les vestiges immuables et transcendant qui dévoilent encore le patrimoine commun des héritiers du leg du patriarche Abraham - Que la Paix soit sur lui-.

 En effet, l’enseignement de l’Islam consacre, comme caractère d’une connaissance approfondie, deux degrés dont l’une s’adresse à ce qui est apparent et l’autre reste connexe à ce qui est caché. Au-delà de ces deux degrés, il existe une infinité de possibilités d’approfondissement de la connaissance par tout aspirant qui aura atteint la station de l’observation.

La communication sur le Réel passe par des langues alors que sa transmission se fait par des signes. La production de sens à partir des signes se fait par l’interprétation. Un programme est un ensemble de relation préétablie qui gouvernent les interactions entre les éléments d’un système. Les mathématiques et la logiques ont beaucoup contribuer à la mise en place de programmes qui explique le basculement de tout un pan de l’existence dans les virtualités interconnectées. C’est par les mathématiques que la gouvernance des programmes se définit pour l’éternité.

Nous verrons que la maitrise des nombres premiers constitue un élément essentiel pour celui qui souhaite affiner ses capacités d’interprétation. Les nombre premiers (13 ; 17, 19 ; 37 , 67 ;73 ; 113, 449, 1018 et 1181 déterminent les valeurs numériques de dix attributs divins.

Le signe ultime de la prière est pensé par peu de musulman. La prière comprend cinq cultes qui se font à des moments précis. Entre la fin des prières de la nuit  et le début des prières de la journée, il ya trois prières qui sont la Chaf’i, la Witr et le Fadjr. Tous les trois noms de ces prières découlent d’une même sourate.

Cette sourate complète la révélation des 258 premiers versets en dix sourates. Donc elle est suivie par la révélation  de 104 sourates.  Des premières heures de la nuit à l’aube, le Saint Coran fait penser au nombre dans une sourate dont les derniers versets parlent de l’agrément divin.

Les données 258 et 104 sont les valeurs numériques respectives des attributs divins ar-Rahim et as-Samad. Comment déterminer la valeur numérique d’un mot transcrit en arabe ?

La réponse à la question posée ci-dessous nous permettra de connaitre la détermination de la valeur numérique d’un nom divin.

Par la maitrise de la détermination de la valeur numérique des noms, y compris les noms de Dieu, on verra que les messages du Saint Coran embarquent des horizons d’attentes et des enseignements spirituels.

Le nom de l’homme de gloire, Issa Ibn Maryam, indique la date son retour, les moyens pour accéder à des informations similaires et la rencontre de l’imam des messager avec sa communauté pendant l’année 641 à compter de sa naissance. Un évènement qui se situe à 1440 ans de sa seconde venue.

La basmala voile des essences divines tout comme elle en dévoile. Tout le discours sur le secret de la Fatiha peut-être, en partie, pénétrer par la connaissance des valeurs numériques des attributs divins. Cette connaissance permet d’aller de la valeur numérique des attributs divins à des formules jaculatoires.

Les noms de Dieu

La liste et l’ordre des noms divins, tirés du travail de Abu Hamid al-Ghazali dans son Les 99 beaux noms de Dieu, par David B. Burell et Nazih Daher, Islamique Texts Society, Cambridge Royaume-Uni, 1992), a fait l’objet d’une recherche dans les livres révélés qui ont précédé le Saint Coran.

Ce livre ne vise la pratique Dhikr. Il montre comment les attributs divins permettent d’accès aux sens voilés des signes qui peuplent l’existence.

Il permet de comprendre que les codes en lettrines, certains noms (Muhammad, Ahmad, Issa Ibn Maryam, …) ou les attributs divins indique des horizons temporels.

Une analyse de la basmala et de la sourate la Fatiha qui l’englobe permettra de voir que les signes de la fin des temps trouvent leur interprétation par la connaissance des valeurs numériques des attributs divins.

Les usages et les valeurs numériques

Les valeurs numériques de comprendre que les usages des noms de Dieu dans la pratique du Dhikr par les attributs divins ou d’une formule.

La donnée 161, la valeur numérique de an-Nafi’, est l’usage de al-Khafidj. La donnée 173, l’usage de l’attribut al-Alim, est la valeur numérique la formule la ilaha ila Jalil.

L’analyse de la valeur numérique d’un attribut divin permet d’y voir la somme de valeur numérique d’un ensemble d’attribut divin ou la valeur numérique d’une formule jaculatoire.

Cet ouvrage apporte un souffle nouveau dans la recherche parce qu’il enseigne par le développement spirituel islamique comment éveiller en soi l’intuition. L’intuition n’est pas la capacité à formuler de bonnes hypothèses dont les réponses apporte un cherche des découvertes. L’intuition qui résulte du fait que l’aspirant bénéficie de la guidée est une gouvernance de soi par la sagesse et des sciences dont l’assimilation produit un effet cycle de découverte.

Champollion avait décodé les hiéroglyphes. Les résultats que nous partageons, ici, portent, entres autres, sur les mécanismes du temps long et des repères historiques enfouis dans les textes des Ecritures Saintes.

Cet ouvrage qui initie sur les moyens d’accès à la présence de Jésus est parmi nous n’est pas un ouvrage de fiction ou de prédiction. C’est le récit d’une expérience intime vécue par Abd Ramane anNur Thani, le treizième apôtre. Jésus lui lava le pied droit à 160 jours de la date de son retour qui consacre la victoire de l’Islam. Depuis le 17 octobre 2018, Jésus est parmi nous !

Pourquoi Amen se prononce dans les synagogues, les églises et les mosquées?

Seul l’homme de gloire peut aider à interprétation les signes qui permettent de donner une réponse à cette question. Quelle est la communauté qui prononce cette vérité intangible de la source unique de la révélation de la Parole ?

Ce sont les musulmans !

La collecte et l’analyse des données sur le retour permettront de parvenir à leur interprétation qui montrera que toute l’information sur l’apocalypse était là avec l’humanité depuis l’alliance entre Abraham - Que la Paix soit sur lui- – Que la Paix soit sur lui- et le Seigneur - Qu’Il soit exalté-.

Les prophètes parlaient à toutes les générations de l’existence. Chaque génération comprend leur message par ce que Dieu – Qu’il soit exalté- leur a doté de sciences. Ainsi la sagesse de Pharaon sauva l’Egypte quand il se décida de se conformer à l’interprétation de son rêve du prophète Youssouf – Que le Salut soit sur Lui-.

Le prophète Moussa – Que le Salut soit sur Lui- partit à la rencontre de Qadir – Qu’Allah l’agrée- pour l’acquisition de cette capacité d’interprétation.

Le Saint Coran dévoile le sens de la basmala par sa fonction. La basmala est un verset de la première sourate qui est indispensable dans la célébration de la prière. Elle réapparait dans la sourate les fourmis. Elle se manifeste dans 112 autres sourates sans participer dans le décompte de leurs versets comme dans la Fatiha.

Le prophète Salomon – Que le Salut soit sur Lui- l’utilisa pour introduire la lettre qu’il adressa à la reine de Saba.

 

 

 

 

Les éléments pour l’interprétation

 

Le Saint Coran indiqua au terme de la révélation des deux premiers versets sur les 19 versets qui formeront la première sourate. La Seigneur dit : « 1. Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, 2. qui a créé l'homme d'une  adhérence. »

 

Le concept par laquelle la matière de la création (d’une adhérence) renvoie au moyen qui mène à la connaissance. Une compréhension de second degré du premier verset amène à le traduire par : Apprends par le nom de ton Seigneur.

 

Apprendre par le nom de son Seigneur se fait par les beaux noms de Dieu – Qu’il soit exalté-. La manière de la création (Min Alaquin) a comme valeur numérique 290, la valeur numérique de l’attribut divin Faatir. Le 290e jour de l’an est 17 octobre. C’est en ce jour que se déclenchera la date du compte à rebours de la fin des temps. C’est ce que la littérature appelle la seconde venue de Jésus – Que le Salut soit sur Lui- qui ne fut jamais absent parmi nous.

 

Il est beaucoup plus facile de notre temps d’expliquer ce qui se passe dans la virtualité par ce que le cœur connait. En effet, les virtualités offertes par Internet l’illustrent à merveille. Nous n’avons pas les mêmes compétences pour optimiser nos usages des opportunités offertes par les progiciels. Dans la même veine, le degré de développement spirituel amène à s’exposer à des réalités ineffables. Tel fut le cas de Abd Rahman anNur Thani qui suivit les évènements de la seconde venue du messager Issa Ibn Maryam – Que le Salut soit sur Lui –

Pour comprendre l’interprétation, la doctrine de l’Assomption[1] de la Vierge peut servir d’illustration sur son caractère dynamique.  Ainsi se révèle la constitution dogmatique Lumen Gentium du concile Vatican II de 1964 plus élaboré que la constitution apostolique Munificentissimus Deus de Pie XII sur l’Assomption en tant que dogme de foi.

La constitution dogmatique Lumen Gentium du concile Vatican II

 

La constitution dogmatique Lumen Gentium du concile Vatican II de 1964 a énoncé ce qui suit :

   « Enfin, la Vierge immaculée, préservée de toute tache de la faute originelle, au terme de sa vie terrestre, fut élevée à la gloire du ciel en son âme et en son corps et elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers afin de ressembler plus parfaitement à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort. »

— Constitution dogmatique Lumen Gentium sur l'Église, § 5916.

La constitution apostolique Munificentissimus Deus de Pie XI

    « Par l'autorité de Notre-Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux apôtres Pierre et Paul, et par Notre propre autorité, Nous prononçons, déclarons, et définissons comme un dogme divinement révélé que l'Immaculée Mère de Dieu, la Vierge Marie, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à la gloire céleste »

 

— Constitution dogmatique Munificentissimus Deus, § 4415.

Entre les deux dogmes de foi, la spiritualité prend le pas ur la volonté de puissance, la formule « « Par l'autorité de Notre-Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux apôtres Pierre et Paul, et par Notre propre autorité » disparait. La volonté humaine, par la formule « Nous prononçons, déclarons, et définissons » s’efface également. La déclaration du dogme de foi (Lumen Gentium sur l'Église, § 5916) met l’accent sur une consécration : Marie « fut élevée à la gloire du ciel en son âme et en son corps et elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers afin de ressembler plus parfaitement à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort.»

Les problématiques que soulève cet énoncé peuvent se vérifier dans la Parole et l’expérience intime des saints tandis que l’abandon des termes du premier dogme de foi suffit à admettre toute interprétation comme une explication provisoire d’une réalité qui renferme une Vérité dont tout le mystère demeure inaccessible à une assimilation par les prédispositions humaines à explorer la connaissance.

 

 

Etude les attributs divins

Les attributs divins sont apparus dans les écritures saintes. Ils sont réputés être au nombre de cent moins un. Les sourates ayant comme titre un attribut divin sont en résumé les suivantes :

·       Sourate alTawbah (Chapitre 9)

·       Sourate alMu'minûn (Chapitre 23)

·       Sourate alNûr (Chapitre 24)

·       Sourate Fâtir (Chapitre 35)

·       Sourate alFath (Chapitre 48)

·       Sourate alRahmân (Chapitre 55)

·       Sourate alA'lâ (Chapitre 87)

Elles mettent en relief le nombre 92.

Ces manifestations des attributs divins génèrent deux positions de Malik qui correspondent à sa valeur numérique 90 ou 91. La valeur numérique 91 est celle qu’on trouve dans le verset 4 de la première sourate. En considérant, l’effectif des sourates concernées par 10, en considérant le renvoi du Hamd ou de la Fatiha, on découvre le nombre 89 qui appelle l’attribut 108.

Dans le verset 1 de la Sourate arRahman, on ne trouve qu’un attribut divin. Le verset trois de la première sourate ne renferme que des attributs divins. Le premier verset de la sourate fatiha ne comporte que des attributs divins et le code en lettrines.

Nombres premiers et attributs divin

Les attributs divins qui sont relatifs à l’unicité ont comme valeur numérique 13, 19 et 37. Ces trois nombres impairs sont respectivement le 6e, 8e et 12e nombre premier. Leur somme donne 26. Le 26e nombre premier est 101. La différence du produit de 101 et 62 avec 26 détermine le nombre verset du Saint Coran : 6236 versets.

La somme des termes 13, 19 et 37 donne le nombre 69 qui est, pour les sourates mecquoises, l’effectif des nombres premiers qui participent dans la composition des trinômes qui déterminent chaque sourate pour indiquer le nombre de leurs versets et leurs ordres dans la chronologie de l’arrangement des sourates ou de la révélation. Le tiers de 69 est 23 qui représente l’effectif des nombres premiers dans les trinômes qui déterminent les sourates médinoises.

Deux nombres premiers déterminent Ahad et Ahmad. Leur somme donne 66. Il s’agit du 6e et du 16e nombre premier. Le carré de ces deux nombre donne respectivement 36 et 256. La trente sixième sourate est la 41e sourate dans la révélation. Le lien entre 36 et 41 qui déterminent la sourate Ya-Sin trouve leur nœud en Ahad dont la valeur numérique 13 qui  est l’ordre du nombre premier 41.

 

Par rapport à deux évènements

 

Evènements

Par rapport à un autre évènement

Durée en jour

Valeur numérique de l’attribut divin

Le retour de Jésus

6 février 2017

619

Verset 3 Sourate 1

La vision de la grotte

A la première vision du guide

489

Al-Fatah

La vision sur le mirador

La vision de la grotte

630

Al Mutaquimou

 

 

Les gens de la caverne

Leur défi se rapportait à la mécanique céleste

La mécanique céleste comporte des flux qui captent les essences divines. Ainsi peut-on constater que dans une année abondante :

·       Le 56e jour de l’an est le début des 299 derniers jours de l’an,

·       Le 66e jour de l’an est le début des 290 derniers jours de l’an.

Les données 299 et 66 sont respectivement les valeurs numériques des attributs  divins ar Rahman et Allah.

La durée de 12 lunaisons d’une année est de 354 jours, un déterminant qui est la somme de 258 et 96. La valeur numérique de l’attribut ar Rahim est 258. Le nombre 96 est l’ordre coranique de la première sourate révélée.

La sourate l’évènement, ayant comme ordre coranique 56, comme 96 versets. 96 est un multiple de 12, l’usage de ar Rahim. L’usage du qualificatif suprême, est 27.

 

Par les données visibles

Les titres de certaines sourate ; Nuur, Rahman, Tawab

Par les données invisibles

Le nombre 114 est la somme de deux nombres premiers : 43 et 71. Il détermine les sourates et la présence de la basmala qui apparait 114 fois dans le Saint Coran. La basmala est le 148e verset révélé. 148 est la somme des nombres sommatifs qui dérivent de 71 et 43.

Il s’y ajoute que la basmala est le 43e verset révélé après la révélation des 71 premiers versets qui se répartissent dans 2 sourates dont l’une, la première renferme 19 versets et la deuxième sourate compte 52 versets.

L’ordre du premier verset de la première sourate est 148 et la somme des éléments de ses trinômes 13. La somme de ces deux données montre la valeur numérique de an Nafi’ou, 161, la somme des éléments du trinôme de la sourate Maryam ou la valeur numérique de l’attribut Nafi’ou ou bien l’usage de l’attribut divin al khafidj.

Par-là, on voit que 161 est la valeur numérique de la formule jaculatoire Ahad la ilaha ila Madjid. Le décuple de 161 dont la valeur numérique des deux premiers versets de la première sourate.

La somme des valeurs numériques des deux premiers versets de la Fatiha est le décuple de 161. La somme de 1028 et 528 fait 1610.

 

Par le calcul

Dans la révélation, l’apparition des mots abeille et moustique borne la révélation de 897 versets. La division de 897 par 3 donne la valeur numérique de arRahman, 299.

Le mot abeille se trouve dans le 3743e verset alors que le mot moustique est dans le 4639e verset, le 26e verset de la première sourate médinoise.

Le calcul dévoile des données de second degré. Donc il est révélateur de données invisibles parce que inaccessible par l’observation et l’expérience intime.

Le calcul dévoile également les conséquences des dynamiques par la mise en relief de régression ou de progression. Au-delà des opérations simples les fonctions permettent d’accéder à la profondeur Réel : une immersion en profondeur dans la Vérité.

Les nombres sommatifs vous permettent d’établir le lien entre l’attribut at-Tawab et al-Fatah dont les valeurs numériques respectives sont 409 et 489. Le nombre sommatif qui dérive du 80e nombre premier, 409, est 489. Le titre de la 9e sourate est at-Tawab (409). Le nombre de ses versets est 129 et elle occupe la 113e place dans la révélation. Les nombres 113 et 129 sont les valeurs numériques des attributs al-baqi et al-latif.

Les données numériques du Saint coran peuvent dévoiler des enseignements qui relèvent de l’observation et/ou du calcul. A partir de la 57e sourate de l’arrangement du Saint Coran s’alignent 166 versets regroupés dans onze sourates dont la dernière est la 66e sourate. Le tableau dessus enseigne la formule la ilaha ila lah dans un sens singulier.

OR

OR

NV

Cumul des versets

57

94

29

29

58

105

22

51

59

101

24

75

60

91

13

88

61

109

14

102

62

110

11

113

63

104

11

124

64

108

18

142

65

99

12

154

66

107

12

166

Interprétation

Le tableau ci-dessous montre les attributs correspondant à la valeur numérique ou à l’usage que représente l’ordre chronologique, l’ordre de de la révélation, l’effectif des versets ou le cumul de versets successifs d’un même territoire de la révélation.

OR

Attribut / Usage

OR

Attribut / Usage

NV

Attribut / Usage

Cumul

des versets

Attribut/ Usage

57

Al-Madjid

94

al-Aziz

29

Hou Hayyou

29

Hou Hayyou

58

 

105

Al-Muyyi

22

Al-Bassit

51

 

59

Al-Khalid

101

 

24

Houwa Ahad

75

 

60

 

91

al-Malik

13

Ahad

88

Al-Halim

61

 

109

 

14

Al-Wahab

102

Al-Badi’ou

62

Al-Hamid

110

al-A’ala

11

Houwa

113

Al-Baqi

63

Al-Mutakabir

104

as-Samad

11

Houwa

124

Al-Mu’id

64

Al-Kabir

108

al-Haqq

18

Al-Hayy

142

 

65

Ad-dhahir

99

Al-Adjim

12

Ar-Rahim

154

 

66

Allah

107

Al-Quddus

12

Ar-Rahim

166

La il aila lah

 

 

Le perfectionnement spirituel

Le parcours de perfectionnement spirituel est un cheminement en sept étapes pour accéder à la délivrance de l’erreur par la manifestation de la vérité. L’âme humaine se corrompt par l’inclinaison de l’égo vers les vices. L’homme se complait par l’ignorance qui avive l’intensité de ses désirs qui le lient, par l’accoutumance, au mal même si la connaissance finit par lui révéler le côté néfaste et fâcheux de son train de vie par ses actes et paroles. Ce stade est celui de l’homme enclin à mentir à soi-même et à mentir à ses proches. En effet, la pratique des vices s’opère en cachette et ensuite, la loi du silence est le seul moyen de se confiner durablement dans la transgression de tout interdit. C’est cela qu’on appelle l’incitation au mal. Pour dépasser cette phase primitive de l’égo, il faut se donner les moyens d’accéder à l’esprit critique vis-à-vis de soi-même : c’est ce qu’on appelle l’autocritique. A ce niveau, l’aspirant a atteint la seconde étape de l’immersion vers son Créateur, Allahou, Ta’ala !

La psychologie enseigne les trois états de la conscience à travers le ça, le moi et le surmoi. Il nous permet de catégoriser les chauffeurs de notre âme. Le chauffeur qui nous dirige vers l’échec est le çà qui ne se satisfait que par l’assouvissement des élans passionnels et des plaisirs. Le moi est, la voie discursive, qui s’éveille en nous. Il est neutre selon que le chauffeur soit le çà ou le surmoi il peut produire, de manière cohérente, un système de justification qui enracine l’homme dans le mal ou le bien. Le surmoi est la voie de la sagesse. C’est elle qui connait les voies qui prédestinent à la bienfaisance. La sagesse peut être atteinte en dehors de la voie religieuse mais la sagesse qui permet d’accéder à la connaissance de la création immatérielle exige un perfectionnement spirituel selon les règles de l’Islam. Il n’est enseigné que par le Saint Coran. L’imam Cheikh Abd Qadir Dieylani enseigna cette voie et elle fut améliorer par bien d’autres saints. Mahatma Ghandi et Nelson Mandela ont atteint des niveaux de perfectionnement indéniable en dehors de la voie islamique. C’est aussi le cas de Thomas Sankara qui est un véridique. Seckou Touré est aussi un modèle dans le perfectionnement spirituel d’une personne en prise avec les affaires terrestres.

La troisième étape du perfectionnement spirituel est la conscience de son immoralité. C’est de là que l’homme entre en conflit avec lui. Il s’octroie un portrait spirituel idéalisé pour lequel il est prêt à s’essayer dans la pratique excellente des vertus afin de plaire à Son Créateur. Il commence par apprendre au nom de son Seigneur. Il commence l’édification du temple de dieu en lui par la critique de l’acquis à travers les structures sociales et les systèmes de transmission de la connaissance. Le silence et la solitude deviennent pour lui des moyens de mieux se consacrer à l’introspection pour la découverte de son projet professionnel et communautaire en conformité à ses croyances religieuses désormais orientées par la boussole de l’Unicité. L’autocritique atteint à ce niveau son sommet. Tous les connaissances à conserver deviennent celles qui ne subsistent que parce qu’elles sont conformes à la Parole du Seigneur et à l’exemple de la vie de la meilleure des créatures Muhammad (PSL). Son serviteur Cheikh Ahmadou Bamba enseigne par Massalik Djinan toutes les provisions nécessaires au reste du parcours. Les pieux bénéficient de la promesse du succès. N’oublie pas que le chemin qui mène à Allah est plein d’embuches c’est pourquoi il te faut un guide pour la réussite du parcours. Pour qui cherche un guide, Cheikh Ahmadou Bamba est digne de confiance.

Au troisième niveau, l’aspirant se convainc que sa monture est la vérité, son manteau la piété et c’est à partir de cela l’énergie de sa foi l’anime dans l’excellence de la pratique excellente des solidarités adossées aux respects de la Loi divine. Cette disposition est une prise de conscience de son appartenance au genre humain. Elle produit une tension toujours avivée vers la quête du savoir qui délivre de l’erreur. 

L’inspiration adresse les actes et les paroles à la paix. La marche vers la vérité débute avec la connaissance du sens de la vie : la recherche de la paix dans les deux mondes. Il ne s’agit pas seulement de s’offrir comme luxe la paix intérieure mais de vivre avec son environnement dans la communion parfaite : vivre en paix avec le monde. Un tel niveau demande l’atteinte de la pleine maturité. Il demande d’atteindre le charisme nécessaire à la dignité de revêtir le manteau de la piété. On ne peut le revêtir si son prêt ne nous ait pas accordé par la meilleure de toute  la créature, Ahmad (PSL). Le Soleil ne produirait plus autant d’énergie et de lumière que l’aspirant qui accède à ce niveau, il connaitra la montagne du Créateur puis accèdera à l’évanescence.

Les pas deviennent fermes dans l’enceinte scellée où l’espace ténu s’élargit et devient plus profond que la face visible de l’Univers. Par l’œil intérieur, la vision se dote d’un minuscule télescope, plus épais que le septum mais très perspicace parce qu’il verra dans l’invisible par les lumières invisibles. Le dénuement et l’adversité peuvent atteindre à partir de ce niveau des proportions jamais soupçonnées. La vérité  est que ces épreuves ne font que consolider la compétence de maintenir l’état de paix pour soi et son environnement : c’est cela la lieutenance du Créateur sur Terre. Elle ne peut être assurée que par la dignité qui se rattache à « Ô toi, âme apaisée ». Elle s’annonce et se confirme par la manifestation de la lumière qui éloigne des ténèbres de l’ignorance, la voie présidentielle vers l’enfer. Le travail sur le cœur devient une purification de l’âme après le quatrième stade atteint. C’est là où, Allah ta’ala, dit, au 5e niveau de perfection de l’âme, à son serviteur élu : «  Retourne vers ton Seigneur, satisfaite ».

De la satisfaction, l’agrément est acquise à l’étape 6  comme l’atteste le verset 28 de la 89e sourate : « Retourne vers ton Seigneur, satisfaite et agrée ». Il s’en suit la meilleure nouvelle : « Entre donc parmi mes serviteurs et entre dans mon paradis.» C’est la récompense ultime qui consacre le niveau de perfectionnement spirituel le plus élevé : devenir un instrument de la réalisation de la volonté divine tout en étant aussi l’instrument de la colère du Maudit, l’ennemi éternel du descendant d’Adam. Ceux-ci, ces privilégiés, sont les aspirants  qui s’activent dans la communauté unique d’Allah, «  les gens du droit chemin et qui sont les bien guidés Sourate 20 Verset 135.» Cette communauté aura l’insigne honneur d’accueillir l’homme de gloire, Issa Ibn Maryam bintou Imran.

 

 

 

 

 

 

L’éducation durable

En vérité, il y a un cap sur le jeudi 4 janvier 2024 date à laquelle se boucleront un sixième cycle de 201 jours à compter du 16 septembre  2020 (28 muharram 1442). Au départ, c’était clair que c’est par la lumière de Ya-Sin que la Vérité sera découverte. 311 et 371 renvoient à d’autres nombres qui sont 1000 et 56, les valeurs numériques respectives de Mughni et Salam.

La somme des données 311 et 371 est équivalente à la somme de 290 et 392, les valeurs numériques respectives de Maryam et de Issa – Que la Paix soi sur eux !-.

La connaissance de ces données participe à l’interprétation du mur 996. La somme des quatre éléments renvoie à la valeur numérique de la basmala dont le mystère de la première manche  lève un coin sur l’Univers : par les données 5, 2, 30 et 200. L’étoile lointaine indique le premier jour du Ramadan. Aujourd’hui débute les deux cents derniers jours vers la station 19196 : ce jour est le 18996e jour de la vie de l’aspirant. Au petit matin, on m’annonce le décès de mon mentor : imam n’est plus ! Il y a 13 jours depuis que nous avions parlé pour la dernière fois. C’est aujourd’hui que j’ai compris que le code 2255 présageait l’évènement qui eut lieu le 12 octobre 2018.

 L’interprétation des codes est un processus d’approfondissement qui s’accomplit à l’infini. Deux véhicules, garés face à face, à bord d’une rue sont immatriculé 472 et 337, avec 90 et la capsule 3, on se retrouve avec 902, la somme de 551 et 351. Ces données se rapport à la vision du 22 muharram dernier. Il y a un lien entre les visions du 25 Zul hijja et  celle du 22 muharram. Aujourd’hui est le 131e jour de la visite organisé par l’élue est le 18920e de l’existence de Mounirou Abd Wadoudou. Le parcours restreint est à 1445e jour. Il s’agit de la 703e  semaine après les 2000 premières semaines. Il y a treize jours, un camion qui passait comportait deux numéros distincts : 312 et 391. Auparavant, sur un autre camion plateau, il est lisible deux fois allah Akbar, une écriture répété de : Allah avec un bout d’écriture inachevé qui révèle 202.

Sans la compréhension des réductions, il n’est pas possible d’expliquer un parcours spirituel. Tout se passe dans la vie alors que l’expérience de la vie c’est jouir de ce qui finit. L’adage le résume en paraphrasant la Parole : «  Qui vivra mourra !». Tel est le destin des vivants des deux mondes. Or l’’aspirant est un être en attente d’interprétation. Ce 17 janvier 2021 ou le 4 Jumad 2, 1442, est le 403e jour depuis le 15 rabi 1440. C’est le 151e jour depuis le 25 ramadan 1441. La somme de 245, 92 et 66 donne 403 qui sont aussi le produit 31 et 13. On découvre que 245 est la somme de 151 et 94. Hier, le 5 jumad, est le 1214e depuis le 3 Muharram, 1439.

Le cœur ayant capté comme un radar la position d’une source lumineuse est dépassé par Abd Rahman anNour Thani avant qu’il n’atteigne, en compagnie d’une femme en tenue de treuil militaire, un pamplemoussier qui lança ses fruits. Il en cueillit un fruit et la femme monta dans le houppier avant de lui en lancer un autre. Les fruits verts avec parfois des tâches jaunes était à portée de main. C’est le 18e jour à compter de la dernière rencontre de l’esprit fidèle. Cette rencontre eut lieu au 66e jour à compter de la rencontre de la brioche dorée. La donnée de la basmala nouroul hamd[2] est transmise entre cet évènement et la rencontre maritale.

Paix et Amour sont les enseignements clés de la religion. La mécréance vis-à-vis d’un Bienfaiteur se comprend comme une déviance qui pousse l’être à se réinventer un destin  qui ne fait pas de lui celui qui cherche à devenir le meilleur. Ce n’est pas dans l’amour introverti de soi ou les élans d’un cœur attiré par tout autre sauf que l’Amour que se révèle l’être. L’Amour auquel tendent les pieux ne s’exprime pas par la poésie. Il invite à perforer les faîtes du connu afin que chaque pas de plus propulse dans les aires de l’inconnu. Chaque petit pas de l’homme dans l’inconnu est un grand pas pour l’humanité parce que chaque nouveau pas élargit l’angle sous lequel le monde se fait voir.

« Que faire de sa vie ? » Il s’est pose cette question dès son tendre enfance. Un jour appris par l’histoire des prophètes que la vie de Moise est le destin des juifs. Sa vie servira à libérer un peuple et apporter un ciment à un peuple qui gouvernera l’humanité. Le jeune prince deviendra berger. Du palais aux prairies où il faisait paitre le cheptel de gendre, le prophète Souaib, le contraste saisit. Loin des pyramides et des oraisons dédiées à des mortels à la recherche de l’éternité, il finit par marcher vers le feu à la recherche de la chaleur. Et voilà qu’il vit la Lumière qui lui parla. Allah l’a choisi pour délivrer son peuple. Il le bonifia de son frère Aoron comme assistant et prophète. Comme si tout cela n’a pas suffi Allah l’éprouva. Le récit de parcours spirituel de Moussa est partagé par la la dix-huitième sourate. Elevé par un prophète dont il jouit de la confiance. Il a parlé avec Allah. Tout cela n’a pas suffi pour sa réalisation. Il fera le voyage, avec son disciple, à la recherche de Khadir, pour son initiation. Quelles épreuves pour Celui qui parle avec le Créateur ? Pour connaitre ce qu’il faut faire de sa vie ; pour Moussa, c’était de délivrer son peuple et l’a fait ! En toute personne appartenant à un peuple dominé sommeille le parcours de Moussa.

Le monothéisme connut son premier Livre avec les dix commandements. Plus tard David vainquit Goliath. Il était un prophète-roi qui commander les gens et délivrer les faible l’asservissement. La sourate 34, Saba, Allah lui témoigna qu’il fit un adorateur exemplaire. Il fit un forgeron qui amolli le fer et en fit cottes et des mailles. On rapporte dans les deux Recueils authentiques que I'Envoyé de Dieu, sur lui la grâce et la paix, a dit : « La meilleure prière pour Dieu est celle de David et Ie Meilleur jeûne pour Dieu est celui de David : i1 dormait la première moitie de 1a nuit, veillait en prières pendant un tiers avant de dormir Ie sixième qui reste. En outre, il jeunait un jour et mangeait un jour et il ne fuyait pas pendant Ie combat.»  Sa lecture des Psaumes attirait les oiseaux. Toutes ces réalités peuvent se manifester à un aspirant dans son parcours. Les hadiths rapportent que sa voix était belle et envoutante. La vie de Daouda raconté dans la genèse révèle le nombre 1100 alors la somme de leur vie est 1060 ans. En effet, Adam dans sa générosité demanda à Allah de retrancher quarante de ses 1000 ans pour que Daouda vive un siècle parce qu’il de Son Seigneur que la longévité de Daouda se fixe à 60 ans. Sa prière fut exaucée parce que Daouda vivra un siècle alors rien ne sera prélever, au finish, de son millénaire.

Après Daouda, Issa ibn Maryam hérita du Livre. La révélation de l’évangile et Saint Coran concerne 26 ans sur une période 652 ans. Le temps de l’attente avant la naissance de Muhammad est 569 ans. Le nombre 149 est la somme de 33, 64 et 29. Sur les 681 ans de la guidée des héritiers(les apôtres et les califes), on y trouve une durée spéciale de 149 ans. Cette durée peut bien s’étendre à 150  voire plus si on considère la mort de Saint Jean vers la fin du premier siècle à  Éphèse (Turquie). Il serait l'auteur du quatrième Évangile et de l'Apocalypse. Le flambeau de la Lumière, dans la main des pieux et croyants, a éclairé à jamais en 192 ans les horizons ténébreuses de l’Univers. Dans le parcours spirituel, le code 211 pourrait bien indiquer la somme de 19 et 192, le 47e nombre premier. Il est un terminus parce que c’est un point de jonction aux données premières. Le nombre sommatif qui en découle correspond à la valeur numérique de l’attribut divin qui ferme la basmala.

Issa Ibn Maryam peut être appréhendé si on se fit de la clairvoyance de Jean Baptiste qui l’apostropha en lui rappelant un passage que le Saint Coran rapporte en ces termes : « Et que la paix soit sur moi le jour où  je naquis, je jour où je mourrai, et le jour où  je serai ressuscite vivant."         Le message de l’Islam promet son retour à la fin des temps de la première vie des créatures. Son retour se fixe, d’après ceux qui connaissent, au terme du 21e siècle à compter de la naissance de l’élue. Le retour à la date du 17 octobre  2037 par rapport à la naissance Maryam coïncide, selon le même référentiel, avec le 7 safar de 2100. C’est curieux de constater que le 17 octobre d’une année simple est le 290e jour de l’an alors que le 7 safar, après un mois de muharram de 30 jours, est le 37e jour de l’an. La donnée 447 encode, transmis avec le symbole du manteau vert, évoque  un usage de l’attribut de l’Amour qui apaise le cœur. 447 est la somme de 20 et 327, en capsulée par 100. Or 447 est un usage de 290.

Le code 327 indique la superposition des valeurs numérique de Kayoum, Aalim et Wadoudou sur la date du 18 janvier 2021 par rapport, respectivement, au discours sur le mirador, le début de l’année 1442 ou la naissance de Aminata. 307 est la somme de 151 et 156. Ce manteau correspond à l’interprétation des cinq données de la tablette gardée qui est la connaissance de l’accomplissement. Il y a 72 entre la promesse et la vision des données. Une durée de 200 jour se boucla par la vision qui débute la durée de 41 mois soient les 1211 jours qui se sont terminés ce vendredi 15 janvier 2021 : le jour où Aminata entra dans la chambre. Ces données montrent que 202 est la somme de 130 et 72. 130 renvoie à la rencontre du vendredi 12 jumad 1440 à Touba et 72, à la donnée sur miroir qui renvoie au Programmeur. La vie obéit à un programme qui produit les trames qui serviront des possibilités de chemin à suivre selon qu’on est soumis ou rebelle. La rébellion reste faculté de transgresser les limites préétablies par l’Islam : ne pas se conformer aux autorisations et aux interdits.

 

 Peu de personne se sont posé cette question de trouver le sens de leur vie alors qu’ils sont encore en existence ! Et pourtant, il existe une infime minorité dont l’imaginaire s’est accaparé cette question avant même qu’il n’acquiert les moyens de se penser et en pensant les autres. C’est dans les replis ténus de ce qui existe que ce retranchent les connaissances qui se réservent aux dernières générations. La connaissance s’agrandit par le partage. Or les moyens de partager les savoirs tels qu’ils manifestent avec les réseaux sociaux ne pouvaient être imaginé par aucune autre génération sauf celles qui l’éprouvent. Tout point du globe devint par les réseaux interconnectés des lieux ou tous les faits de l’Univers peuvent potentiellement se manifester.

L’univers et l’homme ont interagit en produisant des connaissances extraordinaire. Mais de toutes les connaissances, la sagesse est celle qui lie les générations ayant vécues dans des époques différentes. De toutes les communautés, celles qui se fondent sur la foi restent les communautés les plus représentatives par leurs adeptes qui peuvent se localiser sur toute la surface de la terre. C’est curieux mais seule la religion revêt un aspect universel. Elle transcende les clivages qui se fondent sur les dynamiques territoriales, sur les races, les langues, les âges, les sexes, … Après les religions, tout ce que l’homme invente se fonde sur l’exclusion. L’exclusion est le marqueur de l’origine humaine de toute invention. Une vie s’est d’abord une opportunité pour honorer un engagement : adorer son Créateur !

Ça peut paraitre curieux ! Mais c’est bien cela le premier sens qu’il faut donner à la vie. La variante à cela : c’est adorer une autre créature comme soi-même. Après cette deuxième catégorie, la pure de toutes les créatures et celui qui se vénère lui-même. La vie d’Abraham - Que la Paix soit sur lui- se situe dans une époque où les deux catégories d’être dominaient à Ur, Babylone, Sodome et Gomorrhe. Le processus enclenché par le fidèle et ami du Créateur est le troisième virage de l’évolution du monothéisme si l’on considère la chute et le déluge comme des étapes fondamentales de marche des êtres spirituels vers leur Seigneur. C’est de cette troisième commence. Adam se trompa alors que le Seigneur lui appris à produire du sens de tout ce qui existe. Noé fut vaincu par la surdité de ses contemporains. C’est les deux victoires et pas les moindres du Maudit, l’ennemi déclaré du genre humain. Et Abraham - Que la Paix soit sur lui- triompha de lui parce qu’il sut faire, sur son cœur, le travail nécessaire, pour l’acquisition de la Sainteté et de la Paix. Le Saint Coran lui témoigne un cœur sain.  Le peuple de Abraham - Que la Paix soit sur lui- était animiste celui de Lut des transgresseurs.

Abraham - Que la Paix soit sur lui- indique la direction. Par l’oubli, les idoles meublèrent la maison antique. A la naissance Muhammad (PSL), la maison édifiée par un père dévoué et un fils obéissant, était devenu un temple de l’idolatrie. Abraham - Que la Paix soit sur lui- était un  citoyen du monde. Il naquit dans l’actuel Irak et pérégrination le mène en Egypte, Palestine et en Arabie. L’histoire retient qu’il rentre à Hébron, Hagar, comme servante de Sarata, son épouse exemplaire et mère d’Isaac. De Hagar, il aura comme rejeton Ismaël.  Ismaël et sa mère s’installeront à la Mecque. Et ses descendants par Isaac, Jacob et ses enfants s’installeront en Egypte. Sur des siècles, sa descendance y vivra jusqu’à l’apostolat de Moussa, le frère de Maryam. Cette fille qui indiqua à la femme de Pharaon, Assia, la sainte, qu’elle connait une femme que l’enfant Moussa pourra accepter ses seins. Plus tard de la descendance Abraham - Que la Paix soit sur lui-, le fils de Daouda, le prophète Souleymane épousa la reine de Saba. Quand la révélation se conserve par l’écriture, elle se rattache toujours à l’Afrique où l’écriture fait partie des usages.

Avant Issa ibn Maryam, la descendance de Aron assuraient les offices religieux. Moise intercéda au profit de son frère auprès du Seigneur. Puis après la délivrance de son peuple, alors qu’il devait aller à la rencontre de son Seigneur, il lui confia peuple. De ceux qui crurent au monothéisme de son époque naquirent la communauté qui attendit la venue du Messie. Isaac Newton explique ses efforts, par générosité, pour aider à ce que la première erreur ne soit commise : se méprendre de sa présence ! Le Saint Coran témoigne qu’il s’était bel et bien présent comme le confirmateur de ce que Moise à légué et qu’il a informé de l’arrivé de celui qu’il désigne par le nom de Ahmad. Deux millénaires après, il est encore parmi nous. Il n’est pas reconnu même la pandémie n’aide pas à comprendre que la fin des temps est déclenchée. Le clairon a soufflé par le génie d’un être infinitésimal qui souffle la morbidité et la létalité.

Rien n’y éveille ! Même l’ampleur d’un fléau à l’échelle planétaire n’éveille personne. Les mosquées, les églises et les synagogues qui sont les seuls remparts contre la pandémie sont fermés. La virulence du coronavirus s’intensifie mais la ligne ne bouge pas parce que nous si pourris que l’appât du gain expose l’humanité à des incohérences et absurdités. Comme des assoiffées du désert devant lesquels des mirages peuplent l’horizon d’abreuvoirs, les hommes restent dans le business. Faire de l’argent dont on ne saurait jouir telle est le renouveau de l’absurdité dans l’existence des êtres humains avant l’apocalypse. Comment sommes-nous arriver à ce virage inévitable ? Que des étoiles soient au-dessus de nos têtes bien visibles, ça ne change rien ! Nous sommes trop habitués à voir les étoiles que la nuit. L’histoire de la lune amoureuse de la vie nous conte la fin des temps !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Première partie : la basmala, la sommet de la montagne de l’Olivier

 

 

 

 

Les noms apparents de la basmala

La connaissance s’acquiert, pour l’essentiel, par l’observation ou les opérations logiques. L’approche pour les langues repose essentielle sur la linguistique.

On observant la basmala, on voit ses parties dans le troisième verset de la Fatiha et le premier verset de la sourate 55 Le Tout-Miséricordieux.

Il est possible d’aborder l’étude des attributs divins avec deux perspectives : la manifestation des essences divines et/ou la détermination d’horizon temporelle. Selon les capacités de l’analyste, d’autres perspectives sont possibles.

Les attributs divins comportent, chacun, une valeur numérique et un usage. La valeur numérique de certain attribut est déterminée, avec plus ou moins une unité, selon que leur écriture comporte alim ou non. C’est le cas de Malik, Alim, Akhir,…

La connaissance des valeurs numériques éclaire les usages. Ainsi devient-il possible de voir dans l’usage la valeur numérique  d’un attribut divin ou d’une formule jaculatoire, une donnée qui peut trouver son interprétation par les éléments des trinômes des sourates,

L’usage de l’attribut ar Rahman est la valeur numérique de l’attribut al Malik. La valeur numérique de la formule la ilaha ila Jalil est l’usage de l’attribut A’alim. La donnée 38, l’usage de Malik, est un élément du trinôme de la Sourate Muhammad. Il détermine le nombre des versets de cette sourate.

Le temps qui s’écoule est l’une des manifestations la plus plausible de la Seigneurie. Les valeurs numériques des attributs Allah et le Tout-Miséricordieux sont respectivement 66 et 299. Leur somme détermine le nombre de rotations complètes de la terre autour-elle pour l’accomplissement de sa révolution autour du Soleil.

La soustraction de ces deux attributs dans la liste des 99 attributs divins présentée plus loin donne un reste de 97 attributs divins. La sourate ar Rahmane occupe la 97e place dans la révélation des sourates. Le 25e nombre premier est 97, l’usage de l’attribut divin al-Mujib dont la valeur numérique est 55.

La donnée 25 détermine l’ordre chronologique de la sourate le Discernement ou l’effectif des prophètes cités dans la Saint Coran. Le 25e jour du dernier mois de l’année est aussi le 351e jour de l’an. 351 est la valeur numérique de l’attribut ar-Rafi’ou.

Dans l’arrangement du Saint Coran, la sourate arRahman occupe la 55e place. Donc retenons que le Saint est une œuvre alphanumérique. Il renferme des données numériques qui permettent d’explorer le Réel.

La basmala

Elle désigne le premier verset de la sourate al-Fatiha. Elle apparait en tête de 112 sourates dans lesquelles elle ne fait pas partie du décompte des versets. Une seule sourate ne débute pas par la basmala. Donc 113 sourates ne comportent pas une basmala qui fait partie du décompte de leur verset. Une sourate, les fourmis, comporte un verset qui renferme la basmala.

La basmala comprend deux manches : Bismillah et arRahman Rahim. Elle aligne un code en lettrine et trois attributs divins. Sa deuxième manche apparait comme le troisième verset de la première sourate. Le premier des deux noms de Dieu de ce verset est le premier verset de la sourate 55 ar-Rahman, le Tout-Miséricordieux.

Cette dérivation par la basmala, le troisième verset  et le premier verset de la 55e sourate.

Le sens littéraire des trois attributs divins de la basmala

Le nom de Dieu comporte des essences qui se manifestent par son usage et sa valeur numérique. Cette dernière peut être un usage voire un hub.

Il est rapporté que le compagnon Abu Hurayra a entendu le Prophète (Saw) dire « Certes, Dieu a 99 noms, cent moins un. Quiconque les énumère entrera au Paradis ; Il est sans alter-ego et récompense le fait de citer ces noms un à un. » Rapporté par Boukhāri, tome 8, B.12, R.12.

Les noms de Dieu

Ils sont connus de tout temps par les serviteurs. Elle indique une voie suivie par peu de musulman. Au-delà du culte, l’appel de l’Islam se fait par la Science. La détermination des noms de Dieu est posée par une opération logique qui donne un reste. Cette opération s’appelle la soustraction. La différence de 100 et 1 donne 99, le nombre qui détermine les plus beaux noms de Dieu. Les définitions que nous proposons ici épouse l’éprit de la rédaction de l’encyclopédie Wikipédia.

Les noms de Dieu appellent le calcul par les opérations logiques qui permettent de trouver les multiples des usages de bases. D’ailleurs l’usage du chapelet implique des tours qui relèvent d’une production. Après les visions, le calcul permet de trouver l’usage ou la formule, par décomposition, des grands nombre collectée. La connaissance des nombre premiers est fondamentale parce qu’ils servent de passerelles entre le connu est l’inconnu.

Cette étude choisit les trois attributs divins de la basmala pour montrer par le calcul les attributs qui se cachent derrière la Fatiha.

  

1 Allah

Le Saint Coran désigne, Sourate 16 : AN-NAHL (LES ABEILLES), cet attribut comme le qualificatif suprême :

60. C'est à ceux qui ne croient pas en l'au-delà que revient le mauvais qualificatif (qu'ils ont attribué à Allah) . Tandis qu'à Allah [Seul] est le qualificatif suprême. Et c'est Lui le tout Puissant, le Sage.

 

La valeur numérique de l’attribut Allah est 66 alors que son usage dans la pratique du Dhikr est 27. Sa valeur numérique est l’usage de l’attribut al-Jaburu.

La somme de l’usage et de la valeur numérique de l’attribut al-Jabaru donne 272, la somme des éléments de la valeur numérique Muhammad et des éléments du trinôme qui le déterminent.

Ces éléments du trinôme de la sourate Muhammad sont 47, 95 et 38. Ces nombres indiquent respectivement l’ordre chronologique, l’ordre dans la révélation et le nombre de versets de la sourate Muhammad.

La donnée 272 est la valeur numérique l’attribut divin al-Bassir dont l’usage est 174, la différence entre 342 et 168. La valeur numérique de bismi donne 342 alors que 168 est l’usage de l’attribut as Sami’.

La somme de la valeur numérique et de l’usage de al-Bassir donne 446, la somme des éléments du trinôme  (102, 64, 24) et de la valeur numérique (256) du titre de la sourate anNur.

Le 66e jour de l’an d’une année abondante est le début de ses 290 derniers jours. La valeur numérique de l’attribut Faatir est 290. Le 290e jour du calendrier solaire est le 17 octobre d’une année dans laquelle le mois de février ne dépasse pas 28 jours.

Il me semble que la basmala par ses attributs divins montre les portes d’accès à la miséricorde par le Pardon. C’est pourquoi il existe deux noms de Dieu qui renvoie au Pardon tout comme à la miséricorde.

 

 

La connaissance de sa nature originelle

Allah est l’une des deux portes de Miséricorde. Elle destine à l’exposition aux essences de l’Attribut ar Rahim dont la valeur numérique 258 : la somme des valeurs numériques des attributs divins al-Latif et al-Muhti.

La somme de la valeur numérique de la basmala et des valeurs numériques des attributs divins al-Latif et al-Muhti donne la valeur numérique la formule la ilaha ila Ghafuru(1286). La valeur numérique de Ghafuru est 1186.

La donnée 1286 est la somme des données du cœur qui se ressources par l’ange Gabriel, la connaissance parfaite de toutes les créatures et des Actes qui les gouverne. Muhammad est au sommet de la pyramide. Donc la guidée qui fait accéder au pardon par l’attribut Ghafur permet à l’aspirant de se découvrir comme serviteur : Abd al-Qadir Dieylani, Abd Rahman anNur Thani, Ahmad, Mounirou, Mukhtar,...

ArRahman est l’autre porte de la miséricorde. Les trois premiers versets de la sourate arRahman sont introduits par des attributs divins dont la somme de la valeur donne 1181, la valeur numérique de l’attribut Ghaffar. La connaissance du Saint Coran et des sciences humaines s’opèrent par  cet attribut dont la valeur numérique est associée à la victoire l’Islam. 1181 est le 182e nombre premier. Il  fait accorder la miséricorde dans l’au-delà.

C’est justement pourquoi il faut comprendre que les règles qui régissent la mécanique céleste gouverne la pratique du Dhikh qui cherche à capter certaines heures, nuits et jours pour bénéficier de l’exposition aux essences divines qui font, d’Allah, de la grâce et l’agrément.

 

Dans un le blog baladislam, Allah est définit comme «  Celui Qui a la divinité, c’est-à-dire Ce Qui mérite l’adoration, qui est l’extrême soumission et l’extrême abandon. »

 

Le Dhikr de arRahim et de arRahman

Les usages respectifs de arRahim et arRahman sont 12 et 91. Le nombre 12 est associé dans le Saint Coran à la détermination du nombre de mois de ‘année. La notion de l’année, par douze mois, renvoie à un tour complet de la terre autour du Soleil. La sourate le soleil occupe la 91e place dans l’arrangement du Saint Coran.

Ar Rahmani Rahim compose la seconde manche de la basmala est son usage est la valeur numérique de l’attribut al-Hayyou, la vie. Celle des hommes se détermine par le nombre de révolution de la terre autour du soleil.

La valeur numérique de la seconde manche est une indication  de la date du retour de l’homme de gloire. Le 17 octobre d’une année se situe à 619 jours à partir du 6 février de l’année précédente.

Ce 6 février est le 47e jour à compter de l’avant dernier solstice d’hivers avant le retour de l’homme de gloire. La sourate Rahman comporte 47 versets différents et un verset qui réapparait 31 fois. Ce verset apparait pour la première  après les douze premiers versets et il débute la révélation des 66 derniers versets de la sourate.

La donnée 47 est la valeur numérique de l’attribut al-Wa’ali dont l’usage est 366, le nombre qui détermine la durée de l’année bissextile.

La valeur numérique des 7 versets de la Fatiha (9191)  est un multiple de la valeur numérique de l’attribut al-Malik. Ces usages expliquent pourquoi l’usage Allah est 27. Le 27e nombre est 103, la somme de 12 et 91.

La donnée 91 est un multiple de 13, la valeur numérique de l’attribut Ahad ou l’usage de l’attribut ad-Dhahhir. Dans un intervalle fermé de 103 bornes, la 91e borne est la 13e borne dans le sens inverse.

Dans l’architecture de la sourate arRahman, le verset qui a la plus grande fréquence d’apparition dans une sourate apparait à la 13e place et il débute la révélation des 66 derniers versets de la sourate. 66 est la valeur numérique de l’attribut Allah.

Donc on peut comprendre 66 comme la somme de 31 et 35. Ces nombres déterminent les ordres chronologiques des sourates Luqman et Faatir. Ces sourates indiquent les voies et moyens pour l’accès à la fitra.

 

Les deux mondes

L’ici-bas et l’au-delà !

La valeur numérique de l’attribut al-Hakim détermine le nombre des versets de la sourate arRahman. La donnée 78 peut être analysée comme la somme des usages des attributs  ar Rahim et al-jabaru dont la somme des valeurs numériques donne 464, le double de la valeur numérique de l’attribut al-Kabir ou le quadruple  de la valeur numérique de l’attribut al Qawi.

L’architecture de la sourate arRahman permet d’opérer à des analyses qui dévoilent des enseignements sur les fruits de la pratique du Dhikr. En effet, le cœur est le  jardin où s’épanouissent les végétaux de lumières qui tirent leur énergie des essences divines.

 

الرحمن

2 Ar-Rahmān

« Celui Qui accorde des bienfaits en abondance aux musulmans et aux non-musulmans dans ce monde et Celui qui réserve ces bienfaits exclusivement aux musulmans dans l’au-delà ; et ce nom fait partie des noms que l’on n’attribue à nul autre que Allah. »[3]

 

الرحيم

3 Ar-Rahīm

« Celui Qui accorde des bienfaits en abondance exclusivement aux musulmans dans l’au-delà. Le terme Ar-Rahmān englobe la signification du terme Ar-Rahīm en lui ajoutant une signification supplémentaire, en conformité avec une règle de la langue arabe classique qui indique que le noun ajouté à la fin du premier ajoute une valeur sémantique à la signification du second sans retirer sa signification initiale. »

 

 

 

Définition Ar Rahman et Al Rahim

 

الرحمن

2, Ar Rahman 
 

Le très miséricordieux, l'infiniment bon, le plus tendre et aimant, et le bien faisant. Celui qui accorde à l'ensemble de sa création ses bénédictions et permet la prospérité sans aucune disparité. Celui qui est très aimable, doux, affectueux et miséricordieux. Celui qui pardonne sans fin celui qui déborde d'amour et ne cesse de le verser à tout être vivant. Celui qui accorde ces bienfaits en abondance aux musulmans et aux non-musulmans dans ce monde.

 

Selon Ibn Qayyum (1350 AD), Rahman décrit la qualité de Grâce abondante qui est inhérent et indissociable du Tout-Puissant.

 

Connotations et racines arabes du nom Ar Rahman: Ar Rahman de par son étymolohie reflète la tendresse, la douceur, la gentillesse, l'amour, la pitié, la bonté et la bienfaisance. 
 

La racine r-a-h-m indique également le ventre, ce qui signifie celui qui assure la protection et la nourriture, et à partir duquel toute la création a été créé.

 

La valeur numérique de l’attribut ar Rahman est 299. Le début des 299 derniers  jours de l’an est le 56e jour depuis le début de l’an. Ces données dévoilent, par leurs usages respectifs, les attributs divins al-Malik et al Muqqadam.

 

Les sommes des valeurs numériques et des usages des attributs ar Rahman et al Mubdi fait 630, la valeur numérique de l’attribut al-Muntaquimu.

Dans le récit de la fin des temps, il s’écoule 630 jours allant du dimanche 25 novembre 2018 au 15 aout 2020. La borne inférieure de cet intervalle de temps se situe à 489 jour à compter du 25 juillet 2017.

 

 

 

 

الرحيم

3, Al Rahim 
 

Le tout miséricordieux, l'infiniment bon, le plus tendre et aimant, et le bienfaiteur Le terme Ar-Rahmān englobe la signification du terme Ar-Rahīm en lui ajoutant une signification supplémentaire, en conformité avec une règle de la langue arabe classique qui indique que le noun ajouté à la fin du premier ajoute une valeur sémantique à la signification du second sans retirer sa signification initiale. Celui qui accorde aux croyants musulmans ses bénédictions et permet leur prospérité. Celui qui est très aimable, doux, affectueux et miséricordieux. Celui qui pardonne sans fin celui qui déborde d'amour et ne cesse de le verser à tout être vivant. Celui qui récompense par sa grâce les bonnes actions et les comportements pieux. Celui qui donne à ceux qui font le bien et cherche son agrément. Celui qui a pitié des besogneux. Celui qui accorde ces bienfaits en abondance aux musulmans et Celui qui réserve des bienfaits uniquement aux musulmans dans l'au-delà.

 

Différence entre Al Rahman et Al Rahim


 

Le Prophète (saw) aurait dit: «Al-Rahman est le Tout Miséricordieux, dont l'amour et la miséricorde se manifestent dans la création du monde, et al-Rahim est  le Très-miséricordieux dont l'amour et la miséricorde se manifestent dans l'état qui vient après »(AH), c'est à dire comme une conséquence des actes des hommes. Ainsi, l'ancienne est l'expression de plus haut degré de l'amour et la générosité, la dernière des bornes et faveur constante et de miséricorde. Les savants continuent en spécifiant que le premier comprend le croyant et le mécréant pour ses objets, tandis que le second concerne spécifiquement le croyant. 
 

Rahman donne une idée de plénitude, il indique l'amour et la miséricorde qui enveloppe toute la création , tandis que Rahim donne l'idée d'un renouvellement constant donné en récompense uniquement pour ceux dont les actions sont faites uniquement dans le but de plaire à Allah. 
 

Rahman Indique la grandeur de l'amour et de la miséricorde qu'Allah distribue dans l'univers tout entier sans demander ou tenir compte des usages qu’on en fera. Par exemple La création du soleil, de la lune, de l'air et de l'eau, est le parfait reflet de la miséricorde d'Allah qui est un don universel dont chaque être peut disposer. 

                                                     

Rahim Indique la grandeur de l'amour et de la miséricorde qu'Allah distribue en récompense uniquement à ceux qui le méritent et cherchent cette bénédiction. La manifestation de cet attribut est la réponse ou le résultat de l'action et du comportement de l''être humain. 
 

Al-Rahman est le Tout Miséricordieux, dont les effusions d'amour et de miséricorde sont interminables et continuellement répandues sur toute la création, tandis que al-Rahim est le miséricordieux dont l'amour et la miséricorde se manifestent seulement sur les personnes méritantes par leurs actes et qui reçoivent en conséquence et qui octroi son pardon à ceux qui se réforment et lui demande ces grâces par des supplications et prières sincères.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La détermination des valeurs numériques

La détermination des valeurs numérique se fait selon la valeur qui est accordées à chaque lettre de l’alphabet arabe.

 

C’est un codage.

Décodage

Attributs divins

Décodage

Valeur numérique


2+1+200+10 +1

= 214


40+5+10+40+50

= 145


40+6+40+50

= 136


300+30+1+40

= 371

 

Les 99 noms d’Allah (une liste indicative)

 

Il existe une liste des noms de Dieu établi par l’imam Abu Hamid al-Ghazali dans son livre Les 99 beaux noms de Dieu, par David B. Burell et Nazih Daher, Islamique Texts Society, Cambridge Royaume-Uni, 1992. Il existe d’autres listes.

La liste des noms dressés par l’Imam a fait l’objet d’une étude croisé pour établir les noms qu’on trouve dans la Torah, les Psaumes et l’Evangile. La liste fournie ci-dessous est choisi

 

Le nombre 99 résulte d’une opération : la différence entre cent et un.il détermine l’effectif des attributs divins qu’on appelle communément les plus beaux noms de Dieu.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tableau d’une liste indicative des 99 noms de Dieu

Par ordre, se lis l’attribut dans sa translation par l’alphabet française, son écriture en arabe, sa valeur numérique (VN) et sa traduction en française.

Noms de Dieu

Alphabet français

Arabe

VN

Traduction en fancais

Allah 

لله

66

Dieu

Ar-Rahmān

الرحمن

299

Le Tout-Miséricordieux

Ar-Rahīm

الرحیم

258

Le Très-Miséricordieux

Al-Malik

الملك

90

Le Souverain

Al-Quddūs

القدوس

410 

Le Saint

As-Salām

السلام

371

 La Paix

Al-Mu’min

المؤمن

136

La Sauvegarde

Al-Mouhaymin

المھیمن

145

Le Préservateur

Al-‘Aziz

العزیز

94

Le Tout Puissant

Al-Mutakabbir

المتكبر

662

L’innaccessible

Al-Khāliq

الخالق

731

Le Créateur

Al-Bāri’

البارئ

214

  Le Producteur

Al-Musawwir

المصور

306

Celui qui façonne ses créatures

Al-Ghaffār

الغفار

1181

 Qui absout beaucoup

Al-Qahhār

القھار

306

  L’Irrésistible

Al-Wahhāb

الوھاب

14 

Le Très Généreux

Ar-Razzāq

الرزاق

308

Celui qui accorde la subsistance

Al-Fattāh

الفتاح

489

Celui qui accorde la victoire

Al-‘Alīm

العلیم

150

L’Omniscient

Al-Qabid

القابض

193

Celui qui retient et qui rétracte

Al-Bāsit

الباسط

312

Celui qui étend Sa générosité

Al-Khāfid

الخافض

771

Celui qui abaisse

Ar-Rāfi‘

الرافع

351

Celui qui élève

Al-Moudhill

المذل

770

Celui qui humilie les fiers

As-Samī‘

السمیع

420

L’Audient, Celui qui entend toute chose

Al-Basīr

البصیر

272

Le Voyant, Celui qui voit toute chose

Al-Hakam

الحكم

68

L’Arbitre

Al-‘Adl

العدل

104

Le Juste

Al-Latīf

اللطیف

129

Le Bon dans l’épreuve

Al-Khabīr

الخبیر

812

Le Bien-Informé

Al-Halīm

الحلیم

88

Le Doux, le Très Clément

Al-Adhīm

العظیم

920

L’Immense, l’Eminent

Al-Ḡafhūr

الغفور

1186

Qui Pardonne

Ash-Shakūr

الشكور

1226

Le Très-Reconnaissant

Al-‘Ali

العلي

110

L’Elevé

Noms de Dieu

Alphabet français

Arabe

VN

Traduction en fancais

Al-Kabīr

الكبیر

232

L’Infiniment Grand

Al-Hafīdh

الحفیظ

898

Le Gardien

Al-Muqīt

المقیت

550

Qui nourrit tout le monde

Al-Hasīb

الحسیب

320

Qui règle le compte de tout le monde

Al-Jalīl

الجلیل

73

Le Majestueux

Al-Karīm

الكریم

270

Le Noble

Ar-Raqīb

الرقیب

312

L’Observateur

Al-Mujīb

المجیب

55

Celui qui exauce les prières

Al-Wāsi‘

الواسع

377

Le Vaste

Al-Hakīm

الحكیم

78

Le Sage

Al-Wadūd

الودود

20

Qui aime beaucoup

Al-Majīd

المجید

57

Le Très Glorieux

Al-Bā‘ith

الباعث

573

Qui ressuscite

Ashahīd

الشھید

1019

Le Témoin

Al-Haqq

الحق

108

Le Vrai

Al-Wakīl

الوكیل

66

Le Tuteur

Al-Qawi

القوي

116

Le Fort

Al-Matīn

المتین

500

Le Robuste

Al-Wa’li

الولي

46

Le Protecteur

Al-Hamīd

الحمید

62

Le Louable

Al-Muhsi

المحصي

118

Qui connaît les comptes de tous

Al-Mubdi‘

المبدئ

56

L’Auteur

Al-Mu‘īd

المعید

124

Qui fait rentrer tout le monde dans le néant

Al-Muhyī

المحیي

68

Qui donne la vie

Al-Mumīt

الممیت

490

Qui donne la mort

Al-Hayy

الحي

18

Le Vivant

Al-Qayyūm

القیوم

156

L’Immuable

Al-Wājid

الواجد

14

Qui existe

Al-Mājid

الماجد

48

L’Illustre

Al-Wāhid

الواحد

19

L’Unique

As-Samad 

الصمد

104

L’ Eternel Seigneur

Al-Muqaddim

المقدم

184

Qui a tout précédé

Al-Mu’akhir

المؤخر

846

Qui sera après tout

Al-Awwal

الأول

37

Le Premier, dont l’existence n’a pas de début

Al-Ākhir

الآخر

802

Le Dernier, dont l’existence n’a pas de fin

Adh-Dhāhir

الظاھر

1006

L’Extérieur, l’Apparent

Al-Bātin

الباطن

62

L’Intérieur, le Caché

Al-Wāly

الوالیي

47

Le Monarque

Al-Muta’āli

المتعالي

551

Le Sublime

Al-Barr

البر

202

Le Bienfaiteur

Noms de Dieu

Alphabet français

Arabe

VN

Traduction en fancais

At-Tawwab

التواب

409

Qui ne cesse d’accueillir le repentir

Al-Muntaqim

المنتقم

630

Le Vengeur

Al-Afuww

العفو

156

L’Indulgent

Al-Ra’ūf

الرؤوف

292

Le Bienveillant en grâce

Mālik-ul-Mulk

مالك الملك

242

Le Maître du Pouvoir

Dhul-Jalāli-wal-Ikrām

الإكرام و الجلال ذو

1100

Détenteur de Majesté qui mérite d’être Exalté

Al-Muqsit

المقسط

449

L’Equitable

Al-Ḡhani

الغني

960

Le Riche par excellence

Al-Mughni

المغنى

1000

Qui satisfait les besoins de Ses créatures

Al-Māni

المانع

161

Le Défenseur

Ad-Dār

الضار

291

Qui peut nuire (à ceux qui L’offensent)

An-Nāfi‘

النافع

201

L’Utile

An-Nūr

النور

256

La Lumière

Al-Hādi

الھادي

20

Le Guide

Al-Baqi   

ﻲﻗﻟﺒ  

113

Le Permanent

Al-Wārith

الوارث

707

L’Héritier

Ar-Rashīd

الرشید

1214

Qui agit avec droiture

As-Sabur

الصبور

268

Le Patient

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les noms de Dieu dans les Ecritures Saintes

Les noms de Dieu sont connus de tout temps par la révélation. Dans les Psaumes, ainsi que l’Ancien et le Nouveau testament, figurent les 99 noms de Dieu dévoilé par le dernier des messagers de l’Islam.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Interprétation

A la lumière de l’usage des attributs divins par le Christianisme, il est possible d’étudier les attributs divins que renferme la constitution dogmatique Lumen Gentium du concile Vatican II de 1964 a énoncé ce qui suit :

   « Enfin, la Vierge immaculée, préservée de toute tache de la faute originelle, au terme de sa vie terrestre, fut élevée à la gloire du ciel en son âme et en son corps et elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers afin de ressembler plus parfaitement à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort. »

— Constitution dogmatique Lumen Gentium sur l'Église, § 5916.

Donnée

Interprétation

 

la Vierge immaculée

Dans la  Sourate 21 : AL-ANBIYA (LES PROPHÈTES) : Marie est désignée : « 91. Et celle [la vierge Marie] qui avait préservé sa chasteté ! Nous insufflâmes en elle un souffle (de vie) venant de Nous et fîmes d'elle ainsi que de son fils, un signe [miracle] pour l'univers. » 


La chasteté dévoile l’attribut al-Muhaiminou alors que le rang du verset est déterminé par la valeur numérique de de l’attribut divin al- Malik.

Par le souffle qu’elle reçoit, elle devient dépositaire de la manifestation de plusieurs essences des attributs divins : la vie par l’âme et la Vérité par la Parole.

Le mystère de son élection singulière se dévoile par la sourate Maryam qui montre que la fitra et la préservation du dépôt par son titre et les éléments de son trinôme.

 

fut élevée à la gloire du ciel en son âme

Dans la  Sourate 3 : AL-IMRAN (LA FAMILLE D'IMRAN) :  « 42. (Rappelle-toi) quand les Anges dirent : “ô Marie, certes Allah t'a élue au-dessus des femmes des mondes. »

 

elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers


Le Paul VI est le 262e Pape. La moitié de la valeur 262 est la valeur numérique de la formule Wadoudou la ilaha ila Houwa, soit 131, l’usage de l’attribut divin al-Al’a dont la valeur numérique est 110.

Le 110e nombre premier est la somme de la valeur numérique de l’attribut divin al-Faatir et 311, le 64e nombre premier.

311 est la valeur numérique de Ya Sin.

La place de la sourate Ya Sin dans l’arrangement des sourates du Saint Coran, l’ordre chronologique 36, renvoie à l’attribut Rabi ( Le Seigneur).

L’affirmation selon laquelle « elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers » "  est attestée, dans le Saint Coran, par : « “ô Marie, certes Allah t'a élue au-dessus des femmes des mondes. »

 

à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort

Dans la  Sourate 3 : AL-IMRAN (LA FAMILLE D'IMRAN) :  45. (Rappelle-toi,) quand les Anges dirent : "Ô Marie, voilà qu'Allah t'annonce une parole de Sa part : son nom sera “al-Masih” “Hissa”, fils de Marie, illustre ici-bas comme dans l'au-delà, et l'un des rapprochés d'Allah” .

 

Le code «  Seigneur des seigneurs » est à la fois un attribut divin et un horizon temporel par rapport à ce qui est désigné, dans le récit de l’Apocalypse, à la seconde venue de Jésus.

Dans le Saint Coran, elle se manifeste dans le code en lettrine du premier et du quatrième verset : qui voile l’attribut Malikul Mulk, Roi des rois qui s’interprète aussi par le Seigneur des seigneurs.

La trame de l’évolution historique montre que l’univers est une création et les évènements qui le peuplent résultent d’un ordre divin.

L’Amérique est découverte en 1492 et l’an 1 de son indépendance se situe en 1777. A compter de cette date le retour de Jésus se situe à la 242e année ou à la 1492e année depuis le Maouloud à l’an -52 de l’Hégire.

L’an -52 de l’Hégire se situe dans la 589e année à compter de la naissance de l’homme de gloire, Jésus. 589 est la valeur numérique de la formule la ilaha ila Fatah, la victoire.

242 est la valeur numérique de Malikul Mulk.

 

         Toutes possibilités d’interprétation de la réalité se résument en deux sources : la Saint Coran et les expériences intimes des saints. Nous avons vu ci-dessus comment les expériences intimes de saints chrétiens peut-être confirmées par des aspirants de la spiritualité islamique.

A partir du Concile du Vatican Il,  ouvert le 11 octobre 1962 par le pape Jean XXIII et terminé le 8 décembre 1965 sous le pontificat de Paul VI, ce qui distingue l’aspirant de la spiritualité islamique à celui de voie chrétienne demeure le choix de leur monture dans la quête de la proximité seigneuriale : l’espérance ou la crainte. Depuis, un millénaire du fait de l’influence indéniable de Ghazali[4] sur la quête spirituelle islamique, l’option des soufis est la crainte, là où l’Eglise opte pour l’Espérance.

 

623 ; L’année Une de l’Islam à Médine

La somme des valeurs numériques des attributs divins manifestes de la basmala donne 623. L’année 623 enregistre la première année révolue à Médine, le territoire de la révélation de 1623 versets regroupés dans 28 sourates.

Cette année enregistre le 53e anniversaire de Muhammad à compter du Maouloud qui eut lieu à l’an - 52 de l’Hégire. La valeur numérique du nom par lequel Jésus désigne Muhammad est Ahmad dont la valeur numérique est 53.

La donnée Ahmad peut être comprise comme un horizon d’attente qui caractérisait l’élu par le début de sa rencontre à Médine, à l’âge de 53 ans, avec les héritiers des livres saints. Son nom Muhammad est également un horizon d’attente  qui désigne la période allant du Maouloud à la fin du califat Ali en 661.

La valeur numérique de Muhammad est 92, la différence entre 661 et 569. A en croire à Voltaire, le Maouloud eut lieu le 5 mai 570.

L’an 623 est l’horizon d’attente temporelle de l’annonce de Jésus : la 53e année à partir de la naissance l’élu.

623 est la différence entre 1623 et 1000, la valeur numérique de l’attribut Mughni. La somme des valeurs numériques des trois attributs de la basmala donne 623. L’effectif des versets révélés à Médine fait 1623 versets regroupés dans 28 sourates.

La donnée 1236 est la somme de 403 et 623.

 

L’importance des données numériques

La détermination de beaucoup de chose qui se rapporte à Muhammad utilise, la totalité ou une partie, des chiffres 2, 3 et 6.

La révélation du Saint Coran a duré 23 ans.

La vie du prophète a durée 63 ans.

Le mois de Chaabane est celui du prophète. Il se termine le 236e jour de l’an.

La première année du prophète à Médine s’est bouclée pendant l’année 623.

Le 27 Ramadan est le 263e jour de l’année du calendrier lunaire.

La fin de la révélation du Saint Coran a lieu pendant l’année 632.

Le Saint Coran renferme 6236 versets.

 

 

 

 

Les données 258 et 104 sont les valeurs numériques respectives des attributs divins ar-Rahim et as-Samad. Comment déterminer la valeur numérique d’un mot transcrit en arabe.

La réponse à la question posée ci-dessous nous permettra de connaitre la détermination de la valeur numérique d’un nom divin.

Par la maitrise de la détermination de la valeur numérique des noms, y compris les noms de Dieu, on verra que les messages du Saint Coran embarquent des horizons d’attentes et des enseignements spirituels.

 

 

 

A quoi sert la connaissance de la valeur numérique ?

 

La valeur numérique permet de soustraire les évènements du hasard pour les rattacher à la nécessité. Elle permet de connaitre le sens des dates qui sont devenus des jours fériés.

 

Les cycles qui déterminent les subdivisions du temps renvoient à la manifestation d’essences divines. Le Créateur pose, Dans Sourate 18 : AL-KAHF (LA CAVERNE),  le problème en ces termes :

 

« 9. Penses-tu que les gens de la Caverne et d'ar-Raquim ont constitué une chose extraordinaire d'entre Nos prodiges ?

10. Quand les jeunes se furent réfugiés dans la caverne, ils dirent : “ô notre Seigneur, donne nous de Ta part une miséricorde; et assure nous la droiture dans tout ce qui nous concerne”.

11. Alors, Nous avons assourdi leurs oreilles, dans la caverne pendant de nombreuses années.

12. Ensuite, Nous les avons ressuscités, afin de savoir lequel des deux groupes saurait le mieux calculer la durée exacte de leur séjour. »

 

Ils s’agissaient de jeunes en quête de piété et de miséricorde. La réponse du Créateur précise : « Nous les avons ressuscités, afin de savoir lequel des deux groupes saurait le mieux calculer la durée exacte de leur séjour.»

Dans une approche extérioriste, il apparait les noms de Dieu Ba’ith et al-Hassib. Pour ce qui ont la guidée, ils verront que les trois cent neuf ans indique une durée de trois siècles du calendrier solaire.

Les savants verront que cette durée correspond à 3710 lunaisons et 22 jours. Les détenteurs de la science par Dieu interpréteront ces données pour trouver du sens à l’argent que détenaient les gens de la Caverne.

Les données 3710 et 22 sont respectivement le décuple de la valeur numérique de l’attribut Salam et le double de la valeur numérique de Houwa. Ces données sont, dans la pratique du Dhikr, des usages des attributs divins al–Mughni et al-Bassit.

 

Les données cachées de la basmala.

 

Elles peuvent faire l’objet d’un livre. Le lien entre la basmala et l’attribut arRahman s’établissent une double passerelle. Les valeurs numériques des deux manches de la basmala sont respectivement les 80e et 114e nombres premiers 409 et 619.

La somme de 80 et 114 donne 194, valeur numérique de la formule la ilaha ila Aziz. Le 194e nombre premier est 1181, la valeur numérique de l’attribut divin Ghafar.

Les trois premiers versets de la sourate ar Rahman sont respectivement introduits par les attributs divins ar Rahman, al Alim et al-Khaliq dont la somme des valeurs numériques donne 1181. Le nombre sommatif qui dérive de 1181 est 1375, la valeur numérique de la formule Aziz la ilaha ila Ghafar.

De la basmala, nous arrivons à la découverte de l’attribut du Pardon dans les trois premiers versets de la sourate ar Rahman. Ar Rahman est l’un des attributs divins qui servent de titre à une sourate. Sa valeur numérique est 299. Son usage est la valeur numérique de l’attribut divin al-Malik soit 91. Du point de vu numérique, la valeur numérique des sept versets de la Fatiha font 9191. Nous verrons dans la deuxième partie que la somme des valeurs numériques des quatre premiers dévoile que le retour de l’homme de gloire se situe à l’an 2080 à partir de sa naissance. La valeur numérique des Jésus peut être considérée par trois valeurs selon les variantes de son écriture en arabe : 390, 391 et 392. La somme de 2080 et 391 donne 2471.

Donc la valeur 9191 est la somme de 2471 et  6720. Ces deux données révèlent, pour un initié qui sait interpréter, que la quête ultime de l’humanité est la paix qu’elle soit pour soi et pour la société.Ce qui distingue le musulman de tout autre adepte de religion monothéiste demeure qu’il a choisi la crainte pour son retour vers le Seigneur là où d’autres adeptes ont choisi l’espérance avec tous les risques qu’elle comporte.

 

Deuxième partie : la Première sourate Fatiha

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les noms cachés de la Fatiha

La Fatiha comporte sept versets. Sa révélation commence par celle du 148e verset sur les 6236 versets. Le titre de la 48e sourate est mot de la même famille que le titre de la première sourate. La basmala est une partie intégrante des versets de la Fatiha et telle n’est pas le cas pour les 112 autres sourates qui la portent comme en tête.

Les éléments du trinôme de cette sourate sont 5, 7 et 1. Leur somme donne la valeur numérique de l’attribut Ahad. La singularité de cette sourate se manifeste également par la somme des éléments de son trinôme qui est la seule somme inférieur à 100. La seconde somme inférieur à 100 est celle de la 3e sourate mecquoise avec 96. Cette sourate renferme 20 versets. 20, la valeur numérique al-Wadud, est la somme des nombre qui détermine les versets et l’ordre dans la révélation de la sourate enclencha le début de la révélation.

La Fatiha et la sourate Maryam

L’illustration parfaite du Jardin d’Eden est Maryam : les fruits dont elle fut gratifiés :

37. Son Seigneur l'agréa alors du bon agrément, la fit croître en belle croissance. Et Il en confia la garde à Zacharie. Chaque fois que celui-ci entrait auprès d'elle dans le Sanctuaire, il trouvait près d'elle de la nourriture. Il dit : “ô Marie, d'où te vient cette nourriture ? ” - Elle dit : “Cela me vient d'Allah”. Il donne certes la nourriture à qui Il veut sans compter. (Sourate 3 : AL-IMRAN (LA FAMILLE D'IMRAN))

Ce verset montre par le témoignage de la Parole le degré d’élection de Marie à qui une sourate entière est consacrée. La somme des valeurs numérique du titre de la sourate Maryam et les éléments de son trinôme donne la valeur numérique de la formule la ilaha lila Rafi’ou ( 451).

Le symbole du mont des oliviers renvoie aux attributs divins al-A’ala et à la Lumière de la connaissance qui vient de la Fitra, la connaissance de soi, le dépôt qui nous aie confié. Cette lumière provient de la niche de Yassin dont la valeur numérique 311. La valeur numérique de l’attribut al Faatir donne 290 alors que le 110e nombre premier est 601. La différence entre 601 et 290 donne 311 alors 110 est la valeur numérique de l’attribut divins al-A’ala. L’usage de cet attribut est la valeur numérique de la formule Wadudu la ilaha ila houwa ( 131).

 

 

Le 32e nombre premier est 131. L’annonce de Marie sur les signes qui caractérise la présence de l’homme de gloire eut lieu le 2 safar 1440. Ce jour est le 32e jour de l’année parce que le mois précédent a duré 30 jours. 32 est la moitié de 64, le nombre qui détermine l’effectif des versets de la sourate anNur. Le 64e nombre premier est 311.

311 est la valeur numérique de la formule Allah la ilaha ila Muhaiminou. La niche 311 désigne le Saint Coran dont l’interprète fidèle est Muhammad – Que la Salut et la Paix soit sur Lui.

C’est le Saint Coran qui permet à l’homme d’explorer sa propre nature. Une fois que l’homme découvre sa mission, il passe d’un simple adorateur à un être qui s’engage à un service pour l’humanité voir à un service universel.

Les noms de Dieu à partir du nom de Issa Ibn Maryam

Le nom de prophète Issa Ibn Maryam indique la date son retour, les moyens pour accéder à des informations similaires et la rencontre de l’imam des messagers avec sa communauté pendant l’année 641 à compter de sa naissance. Un évènement qui se situe à 1440 ans de sa seconde venue.

 

1 Al-Malik (4 )

Est Ce à qui ce monde appartient en réalité et en totalité parce que sa domination est absolue et exempte de toute imperfection. La domination des créatures est créée par Al-Malik

 

 

 

 

Définition Al Malik

 

الملك

 

3. Al-Mâlik

 

Le Roi, le Souverain, Celui qui est Roi de tous les êtres. Il est le Propriétaire et le Prince de ce monde. Le monde Lui appartient en réalité et en totalité. Sa domination est absolue tout étant exempte de toute imperfection. C’est lui qui accorde aux créatures  la domination.

Détenteur du pouvoir suprême et des pouvoirs de décision sur tous les êtres, c’est Lui qui est invoquée par tout le monde et il n'est gouverné par personne. 

 

Ce nom est utilisé dans le Coran par exemple dans la Sourate Al Hasr L'Exode:

 

C'est Lui, Dieu. Nulle divinité que Lui; Le Souverain, le Pur, L'Apaisant, Le Rassurant, le Prédominant, Le Tout Puissant, Le Contraignant, L'orgueilleux. Gloire à Dieu !Il transcende ce qu'ils Lui associent.

2 An-Nāfi‘ (92 )

Est Celui Qui est tout puissant à faire parvenir immanquablement le profit que doit recevoir une créature selon une destiné

Définition An Nafi

Publié par Baladislam sur 12 Mai 2010, 14:30pm

Catégories : #Noms et attributs d'Allah

 

النافع

92 An-Nāfi‘

 

Le Créateur du bien, le propice. Est Celui Qui est le Tout puissant à faire parvenir immanquablement le profit que doit recevoir une créature selon son destin. Celui qui aide et qui accorde tous les avantages. Celui qui crée tout ce qui produit des avantages et utilités. Celui qui accorde toutes les circonstances favorables. Celui qui confère tous les avantages. Celui qui ne cesse de bénir toute la création de bonté et de tout ce qui est utile. Celui par Qui sont satisfaits tous les besoins.

 

De la racine étymologique arabe nf- le nom An Nafi a pour connotations: 

·       le fait d'être bénéfique, utile, source de salut

·       le fait d'avoir l'usage de quelque chose

 

Le nom An Nafi n'est pas expressément utilisé dans le Coran.

 

Nafi '(créateur du bien) est le contraire de Dar (créateur de mal). Les noms Dar et Nafi sont souvent utilisés ensemble afin de reconnaître la façon dont l'équilibre et l'harmonie sont établies et maintenues. Ces attributs opposés sont souvent indissociables, puisque ce qui est le plus doux nectar d'une personne peut être un amer poison pour un autre.

Ces oppositions contribuent prendre conscience sur le fait que toute action accomplie s'inscrit dans le grand schéma des choses, préétabli par la guidée d'Allah, par le truchement de laquelle l'équilibre et l'harmonie sont créés et maintenus ... même si nous ne le comprenons pas souvent.

 

3 Al-Wadūd (48)

Celui Qui destine des bienfaits spécifiques et les hauts degrés de l’honneur aux serviteurs pieux et crée des récompenses pour leurs actes de bien

Définition Al Wadud

 

الودود

48 Al-Wadūd

 

Le Bien-Aimant, le Bien-Aimé, Celui qui aime. Celui qui est la source de tout amour et bonté. L'unique amour. Celui qui est le plus affectueux. Le Bien-Aimé. Celui qui est digne de tout amour et d'affection. Celui qui est le but de l'amour suprême. Celui qui aime Ses serviteurs dévoués, et qui est aimé par Ses serviteurs dévoués. Son amour pour Ses serviteurs est Sa volonté de Miséricorde et d'éloges. Puisque Sa signification est liée aux attributs de Volonté et de Parole (l'Attribut avec lequel Il ordonne et interdit et parle à Mohammed et Moïse – paix sur eux. Ce n'est ni un son, ni une lettre ou un langage) Celui Qui destine des bienfaits spécifiques et les hauts degrés de l’honneur aux serviteurs pieux et crée des récompenses pour leurs actes de bien.

 

De la racine étymologique arabe JMD le nom Al Waddud a pour connotations en arabe:

 

Le fait d'aimer d'être affectueux

 

Exemple d'utilisation dans le Coran:

 

Wahouwa alghafourou al wadoudou

Et c'est Lui le Pardonneur, le Tout Affectueux

Sourate 85 Al Buruj Les Constellations verset 14

La basmala voile des essences divines comme elle en dévoile. Tout le discours sur le secret de la Fatiha peut-être, en partie, pénétrer par la connaissance des valeurs numériques des attributs divins. Cette connaissance permet d’aller de la valeur numérique des attributs divins à des formules jaculatoire

Comprendre l’alliance

Abraham - Que la Paix soit sur lui- conclut une alliance, avec le Seigneur, une requête qu’il formula au début du quatrième millénaire avant le retour de l’homme de gloire vers la fin des 21 derniers siècles. Dans la sourate Baqqarah, le 24e verset fait le résumé en ces termes :

124. [Et rappelle-toi,] quand ton Seigneur eut éprouvé Abraham - Que la Paix soit sur lui- par certains commandements, et qu'il les eut accomplis, le Seigneur lui dit : “Je vais faire de toi un exemple à suivre pour les gens”.

Le retour de l’homme de gloire est au 7 Safar 2080 par rapport à sa propre naissance. Ce qui fixe l’apostolat du prophète Abraham - Que la Paix soit sur lui- vers1809 avant Jésus Christ. L’installation de sa famille en terre d’Arabie se situe alors dans la première moitié du 18e siècle avant JC.

La fin du Califat de Ali se situe vers la fin du 25e siècle depuis l’alliance alors que, sur cette échelle, le retour de Jésus est dans le 15e siècle de l’Islam.

Cette durée est encadrée par 4011, un nombre qui encadre 553 nombre premier. La niche Yassin est un code qui indique le 64e nombre premier. 64 détermine l’âgé de Muhammad par le calendrier lunaire.

La donnée 489, la valeur numérique de Fatah, est la différence entre 553 et 64. La valeur numérique de La ilaha ila Fatah est 589. Muhammad est né le 12 rabi Awwal 589 par rapport à la naissance de Jésus. Cette naissance se situe à 1492 ans du 17 safar de l’an 1440 de l’Hégire.

La chute de grenade et la découverte de l’Amérique appartiennent à des évènements du chrono céleste. L’Amérique ne choisit par hasard l’année de son indépendance : 1776. C’est le début du compte à rebours des 243 ans pour l’année 2018.

Les données de l’alliance et la fin des temps

La valeur numérique de la basmala est 1028, la somme de 539 et 489. Le 539e nombre premier, soit 3889, détermine la durée de l’alliance à l’an 2080 à compter de la naissance de Jésus.

L’ordre chronologique de la sourate Abraham - Que la Paix soit sur lui- est la différence entre 553 et 539. 489 est la différence entre 64 et 553.

Il me semble que la donnée 114 indique l’écart entre le calendrier solaire et le calendrier lunaire au moment de l’Apocalypse.

Les 50 points de cet écart correspondent à la naissance de Jésus tandis que sa seconde venue se situe à un écart de 62 points de sa naissance. Ce mystère explique la durée des durées de la vie de Jésus et de Muhammad.  La vie de Jésus détermine l’écart d’un point et celle de Muhammad les 64 points qui couvre une durée de 15 siècles. De l’unité à 114, 50 nombres inférieurs à 114 ne participent pas à déterminer l’effectif des versets d’une sourate.

Dans 300, il y a 62 nombres premiers. L’énoncé coranique qui pose la question de l’effectif des habitants de la grotte n’utilise que des nombres premiers : 3, 5 et 7. La durée de leur séjour est de 300 ans sur le calendrier solaire et 309 ans et 82 jours dans le calendrier lunaire.

Le 62e nombre premier est 293, le nombre qui détermine la somme des versets des deux premières sourates qui ouvrent le Saint Coran. La valeur numérique de la formule la ilaha ila Qabid est 293. La durée d’une année abondante est de 355. Le nombre sommatif qui dérive de 293 est 355.

La valeur numérique du code en lettrine AlifLamMim est 71, le quotient du rapport entre 355 et 5. La vie terrestre de Muhammad correspond à l’écart 71. Le 12 rabi Awwal, l’anniversaire du Maouloud est le 71e jour de l’an. La manifestation de l’Ipséité sur terre indique l’écart 62 depuis la naissance de Jésus qui correspond à l’écart 43[5] depuis le Maouloud.

Dans l’écart antérieur au Maouloud était 69. C’est justement ce qui peut expliquer pourquoi la sourate la Caverne occupe la 69e place dans la révélation. C’est-à-dire elle débute la révélation des  18 dernières sourates mecquoises. Son ordre chronologique est 18.

Dans l’effectif des 342 éléments des trinômes qui déterminent les 114 sourates figurent 92 nombres premiers dont les 69 déterminent des sourates mecquoises. Ces 69 nombre premiers se répartissent équitablement entre les ordres chronologiques, les ordres dans la révélation et le nombre de versets. De l’unité à 114, 69 nombres inférieurs à 114 participent à déterminer l’effectif des versets d’une sourate. Ces 69 nombres déterminent le nombre de versets de 101 sourates.

32 des nombres premiers sont des nombres qui déterminent l’effectif des versets des sourates. Cette population de 32 nombres premiers se compose par 18 différents nombres. Ces 32 sourates renferment 1076 versets. Le nombre sommatif qui dérive de 919, le nombre qui détermine la somme des versets des quatre sourates les plus volumineuses, est 1076. La valeur numérique du cinquième verset de la première sourate est 1076.

Le symbolisme de la grotte c’est l’accès à la ténuité derrière laquelle se retranchent les données premières qui se dévoilent que par la vision ou par le calcul.

Le retour de l’homme de gloire

Ce retour n’est pas une présence à la suite d’une absence. Il était là parmi nous. D’ailleurs, il reçut l’aspirant et lui lava le pied à 160 jour de ce que l’aspirant retient comme la date du retour.

Le quatre premiers verset de la sourate al-Fatiha informe sur l’année du retour par rapport à la naissance de Jésus : 2080. La valeur numérique du nom de Issa fait 391, la somme de la valeur numérique de l’attribut es-Salaam ( la Paix)  et l’attribut al-Wadud – l’Amour).

La somme des valeurs numériques quatre premiers est la somme de 2080 et 391, soit 2471.

Le troisième verset a comme valeur numérique 619,le 114e nombre premier. La donnée 619 détermine la durée qui s’est écoulée du 6 février 2017 au  17 octobre 2018. La durée qui s’écoule, sur l’année 2018, est de 290 jours. La valeur numérique de Maryam est 290. Le 290e jour de l’an est le 17 octobre.

L’ouverture de la porte du cœur l’aspirant s’est fait au 292e sur l’échelle des 619 alors que la fin de l’année 1439 se situe au 582e jour, à 37 jours du retour de l’homme de gloire. La donnée 582 est la valeur numérique du deuxième verset da la première sourate. Donc la donnée 582 est la somme des valeurs numériques des attributs divins al-Faatir et ar-Ra’oufoun. La donnée 37 est la valeur numérique de l’attribut divin al-Awwal. Le 114e nombre premier  est la somme de 582 et 37.

La valeur numérique de al-Jami’ou est 114. On enregistre des écritures des noms de l’homme de gloire sans alif embarqué et deux écritures qui embarquent une ou deux fois la lettre alif. La valeur numérique la plus étendu du nom de l’homme de gloire est 392. Le 7 Safar 1440, le jour du retour, était le 392e à compter du début de l’année 1439.

La valeur minimale indique les moyens pour la connaissance de tout ce qui se rapporte à lui. La valeur numérique de la formule la ilaha ila Faatir est 390.

Le signe de Rois des rois

La basmala est introduite par un code en lettrine dont la valeur numérique est 342, la valeur numérique de la formule la ila ilaha ila Malikul Mulk.

La valeur numérique Malikul Mulk ou du quatrième verset est 242. C’est la connaissance qui permet d’accéder à ses données qui relèvent de la fitra ; la nature originelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La station de l’observation

Le qualificatif suprême

Allah est a comme valeur numérique 66, l’usage de al-Jabaru dont la valeur numérique est 206. La somme de la valeur numérique et de l’usage de l’attribut al-Jabaru fait 272.

 

La basmala

 

La valeur numérique de la basmala est 1028, le reste de la différence entre 1040 et 12. La donnée 129, la valeur numérique l’attribut al-Latif, la somme des nombres premiers inférieurs à 30, est l’usage de la basmala. Douze est de l’usage de l’attribut divin arRahim. La somme des valeurs numérique de al-Latif et ar-Rahim donne 387. La donnée 2671, transmise au début du parcours long, est le 387e nombre premier.

 

La donnée 2671 est la somme de 200 et 2471. La valeur numérique des quatre premiers de la Fatiha fait 2471. La différence de 2471 et 2000 donne un reste qui renvoie à la sourate Yassin dont la valeur numérique du titre donne 311 alors que la somme des éléments de son trinôme fait 160.

Le jour où Jésus lava le pied de Abd Rahman anNur Thani se situe à 160 jours de la date que l’aspirant considère comme celle de son retour : le 17 octobre 2018. Donc le lavement de son pied droit eu lieu le 11 mai de la même année. La valeur numérique de l’homme de gloire Issa fait 392. La différence de 392 et 5 donne 387.

 

La rencontre maritale qui eut lieu le 12 octobre 2018 se situait à 387 jours du début de la dernière année par rapport au 2 Safar 1440. Ce qui place le 17 octobre 2018 au 392e jour depuis le début de l’année 1439 de l’hégire.

La manifestation de l’Ipséité par les trois attributs divins qui sont asSalam, anNur et al Hamid font de la conception ternaire de la divinité la réunion des signes du retour de l’homme de gloire.

 

Dans l’expérience intime de l’aspirant, la manifestation de l’Ipséité s’est opérée le vendredi 16 Muharam 1442 soit le 371e jour depuis le début de l’année 1441. Or cette date se situe à 339 jours de la fin de l’année 1441. Cette manifestation de l’Ipséité se situe à 689 jours du 17 octobre 2018. La date du 17 octobre 2018 est à 892 jours de la rencontre de Kaolack du vendredi 26 mars 2021.

Ces évènements représentent le code du Saint Coran à travers la citation de l’abeille et du moustique. De la rencontre maritale à la rencontre de Kaolack, il y a 897 jours soit 129 vendredis. En effet du verset 68 de la sourate les abeilles au verset 26 de la sourate La vache, il ya 897 versets

 

 

Le nombre 1040 détermine le nombre de rotations de la terre allant du 6 février 2017 au 12 décembre 2019. Nous sommes dans la semaine dans laquelle les premiers cas de la covid sont déclarés à Wuhan.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La sourate Muhammad

La somme des éléments du trinôme et du titre de la sourate Muhammad fait 272, la valeur numérique de l’attribut al-Baçir  dont l’usage est 174.

La station de l’observation

La somme des valeurs numériques des attributs al-Malick, an-Nafi’ et al-Wadud donne 272, la valeur numérique al-Baçir

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’interprétation : une capacité de mise en cohérence

Le 11 mai est l’anniversaire de la mort des inspirateurs du panafricanisme que sont  Omar Blondin Diop et de Bob Marley. Le 11 mai se trouve à 160 jours du 17 octobre 2018. Ils quittèrent respectivement ce bas monde en 1973 et 1981.

Bob Marley est né  le 6 février  1945  alors que Omar blondin Diop est né le 18 septembre 1946.

Les saints, ces héritiers des prophètes et les savants, sont les docteurs des cœurs. La fin des temps correspond aux temps de l’Afrique. Un mot qui dériverait rassemblement du mot arabe Ifriq, le verbe déverser qui introduit la prière des savants égyptiens qui furent crucifiés après leur allégeance aux prophètes Moussa Et Aron.

L’évènement se situe au milieu du Ve millénaire de l’alliance du prophète Abraham - Que la Paix soit sur lui- qui adressa sa requête après ses épreuves du 10 zul hijja et du supplice du feu qui lui réservèrent sort adouci. Le symbole de cette alliance indique la direction de la prière.

La noirceur de Kaaba rappelle l’appel de la prière, sur son toit, de Bilal et cela, juste après l’entrée victorieuse des musulmans à la Mecque.

En terre africaine, le Pharaon décima l’intelligentsia avant d’entrée le reste de son entourage dans les flots de la mer rouge. La renaissance de l’Afrique passera par une gouvernance vertueuse qui se fond sur les valeurs de l’Islam, entendu dans le sens de la religion transmise par les prophètes du premier au dernier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le retour de Jésus et la renaissance Africain

Elle se situe à 243 ans de l’indépendance des USA. La découverte de l’Amérique en 1492 fut un indicateur du compte à rebours. Le retour de Jésus se situe dans le premier tiers temps du VIe siècle, plus précisément à la 527e année. La donnée 243 est la somme des valeurs numérique des trois noms de l’élu qui sont Ahmad (53), Muhammad (92) et Mahmoud (98). Le retour de Jésus correspond à la délivrance d’un enseignement sur la pratique du Dhikr en lien avec la mention du nom du Seigneur.

Le 7 safar 2080 par rapport à la naissance de Jésus, qui se situe à l’an -640 de l’Hégire, intervient à l’an 1492 à compter du Maouloud ou à l’an 1440 de l’Hégire. Cette date est le 17 octobre 2018.

Auparavant, l’homme de gloire lava le pied l’apôtre Abd Rahman anNur. C’était le 11 mai à 160 jours de la date de la seconde venue qui est une exposition à l’essence divine de l’attribut divin anNur.

C’est par le changement de référentiel que des possibilités s’offrent dans l’interprétation des évènements de l’enceinte scellée.

Les données 619, 392, 37 et 160 sont associées au Saint Coran. Elles sont les valeurs numériques respectives du troisième verset de la première sourate, de Jésus et de l’attribut divin al-Awwal. La somme des éléments du trinôme de la sourate Yassin donne 160.

Le 17 octobre 2018 est le 619e jour à partir du 6 février 2017, jour anniversaire de Bob Marley qui délivra le message de l’unité africaine. Ses héritiers africains sont Alpha Blondy et Tiken Jah Facoly.

Il est établi que l’espérance et la crainte sont des montures qui mènent jusqu’à la proximité Seigneuriale. Abd Rahman anNur Thani atteste qu’il tient de Marie – Que la paix soit sur elle- que les chrétiens ont choisi l’espérance. Nous savons que le modèle sur lequel porte le choix des croyants musulmans, pour le développement spirituel, demeure la crainte.

Cette guidée vers la connaissance de soi se fait avec la basmala par la mention. Depuis David, les Ecritures Saintes renferment des mention qui attestent une connaissance approfondies de la basmala dont la valeur numérique correspond à la somme des valeurs numériques des attributs al-Adjim et al-Haqq :

 

* 34. Al-’Aẓīmu[6] Il a envoyé la délivrance à son peuple, Il a établi pour toujours son alliance; son nom est saint et redoutable. Zabur 111:9, 63:2, 68:35, 99:3

* 52. Al-Ḥaqqu La Vérité Enseigne-moi tes voies, ô Éternel ! Je marcherai dans ta fidélité. Dispose mon cœur à la crainte de ton nom. Zabur 86:11, 25:5, An-Nabi Esaïe 65:16

 

         Le sens que les Psaumes donnent aux attributs divins, cités ci-dessus, montre, à suffisance pourquoi les Hadiths rapportent la qualité de l’adoration du prophète-roi. Il s’y ajoute que le Saint Coran témoigne de la mention de la basmala par le prophète Salomon.

 

Un verset de la Sourate 27 : AN-NAML (LES FOURMIS) atteste que ces deux prophètes étaient des serviteurs croyants : « Nous avons effectivement donné à David et à Salomon une science; et ils dirent :Louange à Allah qui nous a favorisés à beaucoup de Ses serviteurs croyants”. »  En outre, la même sourate atteste de la mention de la basmala par Souleymane à travers un témoignage de la reine de Saba : « Elle vient de Salomon; et c'est : “Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux, (Verset 30).»

 

L’histoire situe l’apostolat du prophète Daouda et de son fils, prophète-roi, au début du millénaire avant Jésus Christ. Les noms de Daouda et Salomon renvoient aux attributs divins al-Wadud et as Salam dont la somme des valeurs numériques donne la valeur numérique du nom de Issa Aleyhi Salam.

 

Dans le devenir de l’Afrique, il y a le retour de l’ascenseur par le rôle de la mère du prophète Ismaël et de la reine de Saba dans l’édification des peuples arabes et juifs. C’est vers ces peuples que ce trouvent des niches de lumières à explorer pour la renaissance africaine.

 

Le seul modèle pour l’Afrique est les Etats-Unis d’Amérique. Et dans le développement de l’Afrique, seule la démocratie peut mobiliser les peuples des diasporas africaines.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques figures pour la renaissance de l’Afrique

Nos conception exclusive de la sainteté ne répond toujours à la réalité de la guidée qui destine l’être à la postérité. Le cœur saint du prophète Abraham - Que la Paix soit sur lui- est récompensé, entre autre, par la postérité.

La renaissance africaine ne se fera pas sans l’Islam. Des figures noires ou métisses qui serviront le devenir de l’Afrique nous pouvons retenir quelques profils.

Ismaël

Fils de Abraham et de Agar, une égyptienne, la vie de Ismaël alimente le rite des musulmans. De son existence, on retient son appui à son père pour la construction de Kaaba et son obéissance qui sanctionne la fête qui parachève le pèlerinage avec l’immolation.

Bilal

         Il est un guide qui appelle au bien ultime : la prière. Son image au-dessus de la Kaaba, appelant à la prière, est un excellent sujet de méditation.

Cheikh Ahmadou Bamba

         Ce qu’il faut retenir de lui c’est sa perspicacité : une capacité inégalable à se poser la bonne question. Ce qui lui vaut le grade de Hadim rassoul et le Magal ainsi que d’être le fondateur de la plus grande ville de l’hinterland de l’Afrique de l’Ouest.

Bob Marley

         Il a fait les chants de gloire de ceux qui ont la lourde charge de délivrer l’Afrique.

Omar blondin Diop

         Un de ses dignes héritiers des temps dernier Yuan Branco. Il appartient à la catégorie d’homme qui ne connaît pas la peur. En effet, celui qui est épris de vérité ne connait pas la peur.

Seckou Touré

         Il a dit non au mirage de l’opulence du contre-maitre.

Nelson Mandela

Il est le Docteur des malades de la boulimie du pouvoir. Tous les potentats, qui asservissent leur peuple, ne connaissent pas le millième de du sacrifice qu’il accepta pour délivrer son peuple. Et pourtant, il est l’apôtre du mandat unique.

Thomas Sankara

         Il est modèle achevé du modèle de droiture d’un gouvernant juste pour la jeunesse ouest africaine.

Sérigne Saliou Mbacké

         Il se distingue par une action qui allie l’éducation à l’agriculture.

Barak Hussein Obama

         Yes we can !

Ousmane Sonko

         Il est la preuve que le système peut ne par corrompre. Il partage cette image avec Juan Branco, un de ses avocats.

 





[1]https://fr.wikipedia.org/wiki/Assomption : Paul VI est 262e Pape de l’Eglise romaine. « Giovanni Battista Montini, né le 26 septembre 1897 à Concesio, près de Brescia, ville de Lombardie dans l'archidiocèse de Milan au nord Italie, et mort le 6 août 1978 à Castel Gandolfo, est un prélat catholique italien, élu pape le 21 juin 1963 sous le nom de Paul VI (en latin Paulus VI, en italien Paolo VI). En qualité d'évêque de Rome, il est le 262e pape de l'Église catholique, et son pontificat s'étend de 1963 à sa mort en 1978. Il est béatifié le 19 octobre 2014, puis canonisé le 14 octobre 2018, et fêté le 29 mai. » Source Wikipedia.

[2] La basmala nouroul hamd montre que le temple de Salomon est un code. Sa reconstruction est le travail qu’il fut, par le message introduit par la basmala, à la reine de Saba. Ce modèle parfait est le Saint Coran, les lettres écrites par le prophète Muhammad – Que la Paix et le Salut soit sur lui- et ses héritiers.

[3] L’auteur ne s’approprie pas forcément des citations qu’il donne sauf si elles émanent des hadiths et du Saint Coran.

[4] Faid Jabre, 1970, Essai sur le Lexique de Ghazali (Contribution à l'étude de la terminologie de Ghazali dans ses principaux ouvrages à l'exception du Tahafut). Publications de l’Université Libanaise. Section des Etudes philosophique et sociales. 298 pages

Ce document se singularise par un éclairage conceptuel qui mobilise plusieurs dictionnaires, études et traductions.

[5] La porte 43 au 5 rabi. Anniversaire de la présence sous l’arbres* des Actes

[6] Mōdibbo Abdu-Injīru, Malam Sirāja, et Malam Rashīda, 2011, Les 99 noms de Dieu dans les Tazrat, Zabur et Injil, Copyright © 2011, 2015 par EPIC

Tawrat: Le Pentateuque (Genèse à Deutéronome), Zabur: Le Livre des Psaumes, Injil: Le Nouveau Testament